Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (6) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (6)

... visité cette ville, pourtant immense, avant cette fin du monde. Comme quoi l’apocalypse, ça ouvre de nouveaux horizons. Ma mère se gara sur le parking désert d’un hôtel en plein cœur de la ville. Quelques pigeons roucoulaient en cœur sur le béton.

— Ça ne servirait à rien d’explorer de nuit ! On va simplement se coucher et on ira chercher le matos demain aux lueurs de l’aube, expliqua ma mère.

Nous entrâmes alors dans cet hôtel qui semblait assez moderne vu de l’extérieur. Une façade pour cacher la misère. L’intérieur de l’hôtel était assez vieux et décrépi. Pas vintage, juste vieillot.

— Il doit y avoir un groupe électrogène au sous-sol, je vais aller l’allumer ! Dit Judie.

J’escaladai le comptoir et saisit plusieurs clés au hasard sur le tableau. Je répartis rapidement les clés et me dirigeai ensuite vers ma chambre. La n°2. Aussi petite et austère qu’une cellule de prison. Au moins, le lit était propre et les draps étaient mis.

Je rentrai dans ma chambre et m’endormis en quelques secondes, épuisé par cette journée pleine d’aventures.

Je fus réveillé un peu plus tard dans la soirée par quelqu’un qui frappait à ma porte. C’était Zoé. Elle portait une nuisette violette qui lui allait à la perfection.

— Salut, Tennessee ! C’est toi qui a pris les brosses à dent ? Je ne trouve plus la mienne

Elle parlait d’une voix douce en se dandinant sur le pas de la porte.

— Oui ! La trousse doit être sur ma table de chevet ! Dis-je, les yeux encore ...

... collants.

Je me redressai dans mes couvertures et je lui montrai l’emplacement de l’appareil. Elle s’approcha et l’attrapa. Je ne pus m’empêcher de jeter un coup d’œil à son décolleté quand elle se pencha. Elle releva les yeux juste au moment où je détournai le regard. J’avais eu chaud !

Ma queue se durcissait mais la couette le cachait. Il ne faut pas m’en vouloir, c’était la première fois que je voyais une fille en si petite tenue entrer dans ma chambre.

Zoé ne semblait pas avoir remarqué ma trique et me remercia :

— Merci, beau gosse ! On se voit demain !

Et elle sortit de la pièce sans plus attendre.

J’enfonçai ma tête dans mon oreiller et tentai de me rendormir. Le vent soufflait doucement dehors, faisant vibrer les fenêtres simple vitrage.

Mais, mon érection me gênait et m’empêchait de trouver le sommeil. Satanées hormones ! Je tentai de penser à des images peu ragoûtantes, telles qu’une bouse de vache ou une pastèque. Mais rien n’y fit. Mon sang gorgeait toujours mes tissus caverneux et tenait dressée ma queue.

Bon, il fallait en finir. Je me redressai sur mon lit et descendis mon pantalon. Je saisis de ma main gauche mon pénis et commençai à le branler énergiquement. Je fermai les yeux et imaginai la peau de Zoé contre la mienne, si douce.

— Tennessee ?

Une voix s’éleva derrière moi. Je sursautai de surprise et tentai de cacher mes attributs sexuels. Je me retournai, honteux. C’était ma sœur Judie. Elle se tenait dans l’embrasure de la porte, en pyjama ...