1. Road-trip (4)


    Datte: 04/04/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Condor76, Source: Xstory

    ... incendie, feu de cuisses, c’est le 14 juillet à la caserne !
    
    La voici allongée complètement nue, sur le dos, sur un des bancs de ce qui ressemble à un vestiaire. Les pompiers sont tous quasiment habillés, à croire qu’un départ pour éteindre Notre-Dame-de-Paris est sur le point d’arriver: bottes, treillis et polo. Seules leurs bites dépassent de leur uniforme bleu aux liserets rouges.
    
    Deux d’entre eux se sont placés de chaque côté et se font polir le casque dans sa bouche. Elle les lustre à tour de rôle, branlant celui en attente. Comme cela ne va pas assez vite, elle suce même leurs deux glands simultanément. Sa langue dépasse entre leurs queues et butine à la recherche de nectar. Le troisième homme est entre ses cuisses et la laboure en lui tenant les jambes par les chevilles. Vu la quantité de sperme qui coule en continue de sa chatte, je me dis que ce n’est pas le premier à tenter d’éteindre l’incendie...
    
    En l’entendant gémir, elle en demande encore: "plus fort ! plus vite !" Rien que ça ! Le pompier, service public oblige, lui remplit copieusement la chatte, pendant que ses collègues bâillonnent ses cris plaintifs. Mais pleine de ressources, voilà qu’un des deux latéraux lâche prise et laisse échapper de gros jets de sperme sur la poitrine de ma femme. Elle en est couverte et brille de grosses tâches laiteuses qui lui coulent sur le galbe des seins. Sentant son avantage s’amplifier, elle se met à sucer vigoureusement son coéquipier en lui léchant les couilles ...
    ... au passage. Le capitaine de l’équipe reprend les choses en main entre ses cuisses. Il la retourne et la met à quatre pattes sur le banc. Désormais à hauteur idéale, il peut alors s’enfoncer jusqu’à la garde dans sa chatte et basculer en mode grand galop. Plus il lui met la fessée, plus les cris de ma femme remplissent la caserne. Son adjoint la bâillonne de sa bite à la limite de la suffocation.
    
    Quant à moi, je suis subjugué par cette vision de toutes ces années de vie commune qui n’attendaient que de faire sauter quelques verrous libidineux. La voir ainsi m’excite comme jamais, me branlant dans mon survêtement. Alors que l’homme derrière elle finit par éjaculer partout sur ses fesses, elle enchaîne et couche le dernier pompier sur le banc puis monte sur cette dernière bite, bien décidée à les achever tous les trois. Après un instant, les deux pompiers repus repartent alors dans le dédale du bâtiment, conscience professionnelle oblige. Il ne reste que ce pauvre homme sur lequel elle s’acharne. Sur la pointe des pieds, et penchée complètement sur lui en avant, elle le monte en lui polissant juste le gland de sa chatte. C’est à ce moment que je me décide à intervenir. En entrant discrètement l’index sur la bouche, j’intime au pompier l’ordre de se taire. Bite en avant je m’apprête à lui prêter main forte.
    
    Son cul encore recouvert de sperme est bien surélevé: une invitation vicieuse à la forniquer. C’est donc à mon tour de m’en délecter, à ma manière. Lorsque je pousse mon ...