1. Road-trip (4)


    Datte: 04/04/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Condor76, Source: Xstory

    ... dans la rondelle, le légume imitant mon mouvement dans sa chatte. Un peu gêné par cet emmanché, je joue simplement à taquiner ses fesses avec mon gland. Son cul se retrouve bientôt lui aussi complètement assorti à ma bite et je peux entrer et sortir librement, tout glissant. Je prends mon temps pour laisser son corps accepter la double étreinte. Une fois à l’aise, j’accélère le rythme et m’enfonce chaque coup plus profondément dans ses entrailles.
    
    Il se dégage de cette scène une obscénité et une odeur de rut indescriptible. Ma femme a plaqué ses mains contre la vitre, au-dessus de sa tête. Elle jouit ouvertement, avec de grands râles de plaisir, qui j’espère n’ameuteront pas le voisinage. Je la pilonne doublement équipé encore quelques instants tout en contemplant son visage, en plein orgasme, et illuminé d’un étrange sourire. Son regard est attiré dehors pendant que je me concentre pour jouir et mettre un terme à cette cavalcade du potager. Quand enfin, je me libère de ma semence juste à l’entrée de son cul qui me serre le gland, je comprends ce qui la faisait sourire. Des pompiers à une des fenêtres de la caserne, applaudissent en choeur le clou du spectacle ! Dans un geste réflexe, je baisse le store brutalement pendant que ma femme rit de bon cœur de la situation.
    
    Après s’être douchés, nous rangeons le champ de bataille, nettoyons les zones sinistrées et jetons les restes peu glorieux du concombre. Nous terminons de préparer le repas, puis mangeons, réfrénant ...
    ... plusieurs fous rires. Quand enfin nous nous couchons, la nuit est déjà bien avancée. Je suis rincé par cette journée de conduite et ne donne pas de réponse aux caresses répétées de mon épouse. Je la sens même se frotter le pubis contre ma cuisse. Quelle insatiable ! Tout ça attendra bien demain...
    
    Bizarrement je me réveille au beau milieu de la nuit. Il fait plutôt frais. Ma femme n’est plus là et la porte est entrouverte. Je me lève en passant un pull et un bas de survêtement, puis je pars à sa recherche. Ne la trouvant pas sur le parking, je commence un peu à m’inquiéter, lorsque j’aperçois une lumière allumée au rez-de-chaussée de la caserne. Contournant le bâtiment, je constate une porte à demie fermée d’où provient la lumière. Poussé par un étrange pressentiment je me rapproche lorsqu’à quelques mètres, des bruits arrêtent mes pas: des voix derrière la porte. Plus que des paroles, ce sont des gloussements, des gémissements et des petits cris que je reconnais parfaitement. Mon épouse se trouve ici et ne semble pas fatiguée de sa journée, bien au contraire.
    
    Discrètement, j"entrebaille la porte pour y jeter un coup d’œil. Ce que je vois me laisse pantois, avec sur le cœur un mélange de malaise et de honte mais aussi et surtout d’admiration et d’excitation. Mon épouse qui s’est faite, disons-le, ramoner par un concombre (et ma bite tout de même !), il y a juste quelques heures, se trouve actuellement avec trois pompiers: lustrage de casque, vérification des lances à ...