Road-trip (4)
Datte: 04/04/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Condor76, Source: Xstory
Jour 4
Après deux jours dans les Landes à profiter de l’océan nous longeons la côte avec notre camping-car. Le temps est radieux, la chaleur plus clémente. Comme la route n’est pas surchargée de vacanciers, nous passons Biarritz sur le midi. Après avoir déjeuné, nous amorçons notre voyage dans les Pyrénées par le bord Atlantique. Fuyant les grandes voies, nous profitons du temps à notre disposition pour admirer le paysage sur des routes secondaires. Évidemment en camping-car, la moindre route de campagne est déjà un appel à la levée du pied sur le champignon. Sur les routes sinueuses de montagne je n’en parle même pas. C’est ainsi qu’en fin d’après-midi, nous traversons un charmant village dont le centre-ville est en effervescence relative. C’est un jour de marché, une dizaine de commerçants sont installés. Nous décidons de nous arrêter un peu plus loin, sur un parking très calme attenant à une petite caserne de pompiers. Nous nous dégourdissons les jambes en direction du marché.
Les senteurs des produits frais envahissent nos narines, nous faisons un ravitaillement opportun: légumes, pain, charcuterie, fromage local...
De retour au camping-car, nous estimons l’endroit vraiment calme et accueillant. La nuit se fera donc ici. D’un côté, vue sur les montagnes, et de l’autre, à quelques mètres, la petite caserne qui parait déserte. Nous préparons le repas avec nos produits frais tout en discutant de nos dernières rencontres. Le souvenir de ces ébats à la sauvette nous ...
... amuse et nous détend. Je taquine mon épouse à propos du concombre que j’épluche, une idée de travers en tête, non dissimulée. Juste une moitié épluchée, je l’agite bien en évidence en remémorant le sexe de l’homme au cabriolet. Ma femme estime que le concombre ne tient pas la comparaison: j’en suis presque choqué! Mais elle affirme qu’en tant que femme, sa curiosité a été piquée: que ferait-elle d’un engin pareil ? Ce coup-ci j’en suis vexé...
Bon perdant, je lui demande si au moins elle se sentirait capable d’une simple mise en bouche. M’attrapant la main, elle relève le défi et commence à le lécher. Ses yeux me regardent d’un air aguicheur. Le concombre à demi-dévêtu et humide, semble heureux, face à la raison de son existence. Pour me taquiner davantage, elle ouvre sa bouche en grand et le suce assidument. D’abord le bout, puis elle en engloutit une bonne partie à nue. Les va-et-vient en me regardant ont vite fait de me mettre en érection. Et au toucher de ma main sous sa robe, sa vulve n’en semble pas laissée pour compte. Un doigt lui tourne son clitoris à travers la dentelle de son slip. Tout de suite, je le sens durcir comme si c’était un téton. Elle se retourne alors, se penche en avant sur le plan de travail de la cuisine et remonte sa robe au-dessus de ses reins. Après avoir fait glisser sa petite culotte jusqu’à ses chevilles, elle me tend le concombre.
— Mets-le moi...
Me susurre-t-elle en écartant ses jambes. Une main écarte aussi ses fesses pour dégager ...