1. Le dépucelage de mon grand-père pendant la guerre 39/45.


    Datte: 01/04/2022, Catégories: Première fois Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... sus jamais ce qu’il lui était arrivé. Mes parents achetèrent une masure à coté de chez Lina car La Rochelle subissait des bombardements. On essayait de s’échapper le plus possible loin des événements. Ils me laissaient au bon soin de Lina quand ils étaient obligés de rejoindre la ville avec ma petite sœur, estimant que j’étais assez grand pour me démerder et aider Lina aux travaux de la ferme car Juan avait disparu, obligé de se cacher des allemands.
    
    1943. Ce fut cette année là que tout bascula pour moi. Ninon venait toujours de temps en temps me rejoindre dans ma chambre et constata que la nouille pouvait se transformer en gros spaghetti pas encore cuit. Elle me dépucela et je fus étonné de ses paroles.
    
    -Putain Bernard ! T’es encore mieux que Juan ! Lui, il était monté comme l’âne de la Louise, mais toi, tu as la queue du taureau du Père Jean !
    
    J’étais un peu couillon et la laissais monter « à cru » son étalon préféré comme elle disait. Mais ce n’était que le début…
    
    Un soir, après le repas qui s’était terminé par une tisane au goût bizarre, je n’arrivais pas à trouver le sommeil et j’avais une trique comme jamais ça ne m’étais arrivé.
    
    Comme à son habitude, Ninon vint « monter son étalon », comme elle disait, prenant bien garde à ce que je la prévienne quand j’allais éjaculer pour ne pas l’engrosser, et prenant bien soin à pomper les dernières gouttes et me laver le poireau. Je m’endormis aussitôt qu’elle quitta la chambre, un peu inquiet quand même ...
    ... car ma verge était toujours aussi raide. Il aurait fallu qu’elle recommence pour me vider les couilles et que je débande, enfin…
    
    Je sortis de ma torpeur, mes jambes enserrées entre deux fortes cuisses et ma queue comme broyée. C’était Lina qui avait pris la place de sa fille… Elle montait et descendait sur mon engin, compressant de ses muscles vaginaux mon chibre en m’informant :
    
    -Ninon avait raison, le maïs a bien poussé et l’épi est dur et ferme. Le coquelet est devenu le roi de la basse-cour. Aaahhh ! Ooouuuiii !
    
    Elle aussi ne partit pas avant d’avoir reçu son obole. Je retombai aussitôt dans les bras de Morphée après une nouvelle toilette du pinceau toujours dressé, mais par pour longtemps. Cette fois, ce fut le tour de Louisa. Elle avait de magnifiques seins et une toute petite chatte. Mon engin était comme pris dans un étau dans son vagin et elle se poignardait avec prudence sur ma pine.
    
    -Aaahhh Bernard ! Mon Dieu que t’es gros, pourtant tu n’as que la peau sur les os. Je ne croyais pas que tu aurais tenu le coup jusqu’à moi mais tu as l’air d’être un bon coup !
    
    Une fois son affaire faite, et un dernier nettoyage, je pus enfin dormir, la queue toujours raide. Mais que m’avaient-elles fait boire ? Ce n’est que le lendemain que je réalisais au petit-déjeuner que trois des femelles sur quatre autour de la table avaient trouvé l’orgasme en faisant du rodéo sur ma pine…
    
    Et portant, elles faisaient comme si je n’existais pas, les salopes !
    
    A suivre… 
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