1. Le dépucelage de mon grand-père pendant la guerre 39/45.


    Datte: 01/04/2022, Catégories: Première fois Auteur: Mlkjhg39, Source: Hds

    ... grognements, même parfois des cris et des râles. Un jour, je posais la question à Ninon. Sa réponse franche et directe me surprit.
    
    -C’est Luisa ou maman qui ont rejoint Juan dans sa chambre pour se faire baiser, parfois j’y vais aussi pour qu’il me fasse l’amour. Aline voudrait aussi mais il ne veut pas car elle est trop jeune. Tu veux que je vienne le soir me coucher avec toi ?
    
    Je ne sus que répondre à part un « ou-oui » timide.
    
    Elle me rejoignit donc et se coucha à coté de moi, je sentais son corps nu contre le mien mais ne savais que faire. Régulièrement, elle passait la nuit près de moi, m’expliquant ce qui se passait dans la chambre de Juan.
    
    -On se couche, moi dessous et lui dessus et il me prend avec sa queue toute dure. Tu as vu l’autre jour le taureau du père Grégoire s’occuper de la roussette, notre vache, et bien Juan fait la même chose. Si tu le veux, je te le ferai à toi aussi.
    
    En même temps, elle saisissait mon sexe mais j’étais si timide qu’elle ne caressait qu’une nouille molle.
    
    Ces paysannes n’avaient pas de complexe et un certain matin où j’étais déjà éveillé, j’ai surpris Lina en train de se laver à la cuisine dans un grand baquet de zinc, complètement nue. La vision de cette poitrine lourde et de cette toison noire abondante là où ma petite sœur n’avait aucun poil me mis dans un drôle d’état. Avec un peu de persévérance, je surpris aussi Luisa, Ninon ou Aline dans le plus simple appareil. Est-ce que, elles aussi, espionnaient le petit ...
    ... citadin quand je me lavais, je ne sais pas.
    
    Chez la vieille épicière du coin qui faisait aussi café, une pipelette à qui rien n’échappait, ses commentaires imagés étaient encore un peu obscurs pour moi.
    
    -Ils n’y a plus que de vieux coqs tout rassis au poulailler plus bon à rien. Chez Lina, il y a encore un coq que les poules se partagent et un petit coquelet au bec court et aux ergots bien trop tendres !...
    
    Ce fut tout pour cette année, et guère mieux l’année suivante…
    
    En aout 1942, Mon oncle Paul m’emmena voir mes cousines à Dieppe. Mauvaise idée... j’y retrouvai mes deux cousines, Virginie et Colette. Rien de spécial me direz-vous, sauf que quelques jours après, nous étions le 19 aout 1942… En pleine nuit, la maison se mit à trembler car des chars étaient dans la rue et tiraient sur les anglais qui essayaient de débarquer. Nous nous retrouvâmes tous dans la cave en pyjama ou nuisette, serrés les uns contre les autres. Je ne sais pas pourquoi mais je me retrouvai cerné par mes deux cousines à peine vêtues qui s’agrippaient à moi comme des morpions sur des couilles. Une nouvelle fois, je me retrouvais entre les bras d’une fille, même de deux et malgré notre peur, je connus ma première érection au contact de ces peaux douces, de ces seins fermes de jeune fille et de la vision sur des endroits que les filles cachent aux garçons.
    
    Puis il y eut le débarquement en décembre 42 en Afrique et les boches encore plus vaches. Elia disparut un jour ainsi que ses parents. Je ne ...