1. L'amour est une catastrophe magnifique


    Datte: 14/08/2018, Catégories: f, fh, fhh, extracon, copains, fépilée, amour, dispute, Masturbation Oral Partouze / Groupe théatre, amourcach, Auteur: Lola De La Musardière, Source: Revebebe

    ... à toi !
    
    LOUIS-OLIVIER : N’allons pas trop vite, tu veux, ce serait tellement dommage que tu connaisses l’extase si vite que je n’aie pas le temps de t’accompagner au septième ciel.
    
    Le jeune homme se retire de la jeune femme, l’aide à se relever, s’assied sur le canapé et la maintenant par les mains, il la contemple debout face à lui. Elle a le regard brouillé, comme perdue dans d’autres limbes.
    
    LOUIS-OLIVIER,fixant le pubis glabre : Voilà une jolie petite chatte qui a encore très très faim.Il invite Camélia à s’asseoir sur lui, de face. Viens, ma belle, fais-moi l’amour comme tu le faisais dans tes rêves.
    
    Camélia s’empale sur le vit en gémissant. La tête en arrière, les yeux clos, sa longue crinière brune lui balayant les fesses, les mains sur les épaules de son compagnon, elle entreprend une danse lascive, en se mouvant de bas en haut. Louis-Olivier, toujours assis sur le canapé, plaque ses mains sur les fesses moelleuses et donne du rythme. Leurs gémissements et leurs cris emplissent la pièce. Soudain, le jeune homme se relève, portant dans ses bras Camélia qui l’enserre de ses jambes et de ses bras pour ne pas glisser. Il se dirige vers la table, et de son bras balaye tout le contenu pour le jeter par terre. Il allonge la jeune femme sur le meuble et continue ses va-et-vient. Camélia étend ses bras au-dessus de sa tête, agrippe le rebord de la table, et se cabre sous les assauts vigoureux de Louis-Olivier en gémissant de plus belle.
    
    LOUIS-OLIVIER : Ce que ...
    ... c’est bon, je ne vais pas tenir bien longtemps comme ça. Tu es si chaude, si humide, si ouverte, je sens qu’on va décoller ensemble.
    
    Il grimpe sur la table à son tour, s’allonge sur le corps alangui de Camélia et la pénètre lentement et profondément, le pubis plaqué contre le sien, pour stimuler le clitoris.
    
    CAMÉLIA,exhalant un râle : Je vais jouir !
    
    LOUIS-OLIVIER : Moi aussi !
    
    Les deux jeunes gens poussent un cri synchrone, leur deux corps se tendent, puis s’affaissent sur la table. Louis-Olivier enfouit sa tête dans le cou de Camélia, une main plaquée sur la table, l’autre croisant ses doigts avec ceux de la jeune femme. Camélia caresse la tête de son compagnon de sa main libre. Ils s’assoupissent.
    
    Acte II, Scène 2
    
    Le téléphone sonne. Louis-Olivier se détache de sa compagne, descend précautionneusement de la table et attrape le téléphone situé sur le plan de travail dans le coin cuisine.
    
    LOUIS-OLIVIER,d’humeur maussade : Oui ? Oui, oui, ça va. Non tu ne me déranges pas.Jetant un coup d’œil à Camélia qui était descendue de la table et commençait à se rhabiller, lui tournant le dos. Enfin, si, tu me déranges. Je peux te rappeler plus tard ? Si, si, je suis seul, bien sûr ! Deux ans de célibat, ça ne se rompt pas comme ça. Oui c’est ça, je te rappelle. À tout à l’heure.Il raccroche le téléphone et regarde Camélia, toujours de dos, qui fixe le mur nu et blanc en face d’elle. Excuse-moi, Camélia.
    
    CAMÉLIA : …
    
    LOUIS-OLIVIER,un peu plus fort : Camélia ...
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