L'amour est une catastrophe magnifique
Datte: 14/08/2018,
Catégories:
f,
fh,
fhh,
extracon,
copains,
fépilée,
amour,
dispute,
Masturbation
Oral
Partouze / Groupe
théatre,
amourcach,
Auteur: Lola De La Musardière, Source: Revebebe
... brûlent dans ses yeux. Elle parait habitée par le démon. Elle attrape Louis-Olivier par le col de son tee-shirt, le forçant à se relever, fait sauter les boutons de son pantalon, le descend en même temps que son caleçon et de ses deux mains le plaque sur le canapé-lit. D’un geste vif et précis, elle ôte son shorty de dentelle noire et s’empale sur le vit dressé.
LOUIS-OLIVIER : Aaargh ! Tu me fais mal !
CAMÉLIA : Tu vas faire la différence entre baiser et faire l’amour !
LOUIS-OLIVIER : Ne parle pas comme ça, ne me regarde pas comme ça, tu m’excites, tu es le diable incarné !
CAMÉLIA : Antoine, qu’est-ce que tu attends ?
Antoine reprenant peu à peu ses esprits sort de sa léthargie. Il observe Camélia complètement en transe, allongée sur Louis-Olivier et menant la danse, la rythmant de violents coups de reins. Il s’approche, lui caressant les fesses, puis se poste à l’extrémité du canapé, tenant fermement les hanches de la jeune femme, avant de la pénétrer à son tour d’un coup sec.Les trois jeunes gens poussent un long râle simultané.
CAMÉLIA : Ah ce que c’est bon !
LOUIS-OLIVIER : Camélia, calme toi, vas-y doucement, je vais exploser !
ANTOINE : Mais tu es une sacrée petite salope, toi ?
CAMÉLIA : Aaah !
LOUIS-OLIVIER : Hum !
ANTOINE : Oh oh oh…
Camélia pousse un cri violent, sonore, animal, elle crie sa jouissance sans retenue. Les deux hommes stimulés par l’orgasme de la jeune femme, jouissent à leur tour, émettant des sons ...
... emprunts de la même bestialité.
Antoine reprend ses esprits le premier, se retire des fondements de Camélia, se rhabille, se dirige vers la porte qu’il ouvre, et dans l’entrebâillement, se retourne pour jeter un dernier regard à ses amis d’enfance.
ANTOINE,sur un ton neutre, sans émotions : Hypothèse validée : une vraie petite pute. Louis-Olivier, je ne pensais vraiment pas que tu serais capable de descendre aussi bas.
Il sort en claquant la porte.
Acte III, Scène 1
Camélia est couchée de tout son long sur Louis-Olivier, la tête sur son torse, une main dans la sienne, l’autre sur son épaule.
LOUIS-OLIVIER,déboussolé : Pourquoi as-tu fais ça ?
CAMÉLIA : …
LOUIS-OLIVIER,lui caressant les cheveux : Tu t’es fait du mal…
CAMÉLIA,froide et cynique : On s’en est débarrassé, non ?
LOUIS-OLIVIER,plein de douceur dans la voix : Il y avait d’autres moyens.
CAMÉLIA,aigre : Maintenant, à moi de débarrasser le plancher.
Elle entreprend de se lever pour quitter l’appartement mais Louis-Olivier la serre fermement contre lui.
LOUIS-OLIVIER : Reste !
CAMÉLIA,froide : Tu as eu deux baises pour le prix d’une ! Je m’en vais maintenant !
LOUIS-OLIVIER,plein d’empathie : Ne parle pas comme ça, s’il te plait !
CAMÉLIA,élevant la voix : Ce sont tes mots.
LOUIS-OLIVIER : Je ne pensais pas ce que je disais. J’avais peur que tu te transformes en midinette, que tu me dises que tu étais amoureuse de moi, et que tu aies l’idée stupide de quitter ton ...