1. La descente aux enfers d'une veuve (5)


    Datte: 14/08/2018, Catégories: Lesbienne Auteur: chloe23, Source: Xstory

    ... comme c’est... bon... Oh j’ai honte...
    
    Mais un nouveau tsunami se levait déjà entre ses fesses, secouées par les coups de boutoir de sa patronne. Et, sans qu’elle puisse s’expliquer pourquoi, la douleur aiguë de son clitoris malmené participaient à ce plaisir.
    
    Enfin, elles se calmèrent, et se laissèrent tomber sur le carrelage froid de la cuisine, sans se désunir. Tout en retirant le gode qui semblait soudé à sa fente, Clotilde caressait maintenant Annie avec douceur et tendresse. Elle était arrivée à ses fins.
    
    Elles ressortirent toutes les deux sur la terrasse, nues, couvertes de sueur, leurs cuisses maculées de cyprine gluante. Et Annie alla sortir du frigo des jus de fruits qu’elles burent ensemble, dans un silence complice.
    
    Lorsque, une heure après, Annie se rhabilla pour partir, Clotilde lui remit une enveloppe contenant son salaire, et une liasse de billets. Elle partait quelques jours pour rejoindre Louis, et elle lui fixa la date de son prochain après-midi de "travail".
    
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    Durant ces quelques jours, Annie a pensé sans cesse à ce qu’elle avait accepté de subir. Elle a finalement décidé de passer sous silence ces "péchés" lors de sa prochaine confession – trop durs à avouer et à décrire. Sa pénitence serait la honte qu’elle ressentait.
    
    Mais au fur et à mesure que les jours passaient, elle se rendait compte qu’elle se remémorait ces moments de plaisir et de ces orgasmes avec de moins en moins de répulsion. Et ...
    ... même qu’elle avait hâte de retourner chez Clotilde...
    
    Le jour fixé, elle se prépara pour retourner chez sa patronne. Elle partit dans la rue, avec son seul soutien-gorge sous sa blouse, et s’aperçut à mi-parcours qu’elle mouillait !
    
    Arrivée chez Clotilde, elle reprit ce qui était devenu une habitude, un cérémonial. Se mettre nue. Sortir en tenue d’Eve sur la terrasse baignée de soleil, pour recevoir les instructions de sa patronne.
    
    Au bout de quelques heures de ménage, Clotilde ordonna à Annie d’aller dans sa chambre, et de lui ramener « ce qui se trouvait sur le lit ». Elle s’exécuta, le cœur battant, devinant que sa patronne allait encore la soumettre à ses désirs pervers. Effectivement, sur le lit, bien en évidence, se trouvait un nouveau gode ceinture. Aussi monstrueux que l’autre, qu’elle connaissait déjà si bien.
    
    Elle redescendit, et trouva sa patronne debout dans le salon. Nue. Radieuse. Elle lui tendit le gode d’une main tremblante. Pendant que Clotilde fixait le harnais autour de sa taille, elle contemplait le plantureux corps sans voile de son employée, avec une mine gourmande.
    
    — Mets toi à genoux, Nini... Ça a du te manquer, de ne pas te faire baiser et enculer ces derniers jours. Tu en as envie ?
    
    — Oui, Madame Clotilde, répondit-elle d’une voix étouffée, en s’accroupissant en levrette sur le tapis.
    
    Annie se cambra, attendant de sentir le nouveau sex-toy entre ses cuisses. Elle venait de réaliser qu’elle était maintenant aussi consentante que ...