1. La descente aux enfers d'une veuve (5)


    Datte: 14/08/2018, Catégories: Lesbienne Auteur: chloe23, Source: Xstory

    ... centimètre par centimètre, de cette bite de résine. Elle n’aurait jamais imaginer subir un jour une telle humiliation, et y trouver malgré tout une source d’excitation.
    
    Jusqu’ici, pour elle, la sodomie était associée aux commentaires méprisants qu’elle avait entendus dans la bouche de quelques hommes sur les "pédés". C’était le summum de l’abjection et de la dépravation !
    
    Mais sa patronne était à des années-lumière de ces considérations. Seuls comptaient pour elle le spectacle des fesses écartelées de son employée, du gode qui allait coulisser entre les deux globes rougis par leurs premières expositions au soleil, et surtout les sensations que l’engin déclenchait, à chaque mouvement, dans sa chatte et au contact de son clito dur et dressé.
    
    Ignorant les cris d’Annie, elle se mit à l’enculer sauvagement. Elle voulait qu’elle soit à elle, soumise entièrement, prenant son plaisir, même malgré elle. Tout en continuant de lui tirer les cheveux de sa main gauche, elle passa son bras autour de sa large taille, pour prendre son bouton d’amour entre ses doigts. Elle commença à le caresser, puis à le triturer, à le pincer.
    
    La pauvre femme subissait, à la fois impuissante et consentante, les assauts de Clotilde. Son petit trou était en feu. Et maintenant, cette garce qui s’attaquait à son petit bouton...
    
    Mais elle savait s’y prendre ! Annie éprouvait ces sensations qu’elle commençait à connaître trop bien, et qui la submergeaient de remords et de honte. Ce plaisir qui ...
    ... naissait, montait, mécanique, inexorable... Et la cyprine qui se mettait à débouler dans sa pauvre grotte de vieille femme, qui avait si peu connu la jouissance. Elle avait l’impression de devenir un animal, une femelle en chasse, et elle n’arrivait plus à refouler son désir.
    
    Elle s’est mise à gémir, et la modulation de sa plainte trahissait ce qu’elle ressentait. Clotilde, tout à son excitation perverse ne pouvait pas s’y tromper. Elle labourait maintenant le cul d’Annie, à grands coups de reins, défonçant sa propre chatte à chaque fois.
    
    — Tu vois, Nini, tu... tu aimes... tu aimes être enculée.
    
    Annie n’avait plus le courage ni l’envie de répondre, ni de nier ce qu’elle ressentait. Elle capitulait. Ses gémissements se transformaient en râles et en petits cris aigus, suivant la violence des coups de gode, ou les tortures subies par son clito. Sans s’en rendre compte, elle se cambrait pour offrir son petit trou.
    
    Son attitude ne faisait que décupler l’excitation de Clotilde, qui virait maintenant à l’hystérie. Elle ahanait en plongeant et ressortant la verge infatigable du cul de son employée, avec violence. Elle pinçait en le tournant son petit bouton.
    
    Les deux femmes jouirent presque en même temps, expulsant toutes les deux des flots de mouille trempant leurs cuisses. Elles n’arrivaient plus, ni l’une ni l’autre, à se maîtriser. Les orgasmes se succédaient, entrecoupés de phrases hachées.
    
    — Tu jouis, Nini ?... Tu... tu aimes...
    
    — Oui Madame... Clotilde... Oh, ...