1. La descente aux enfers d'une veuve (5)


    Datte: 14/08/2018, Catégories: Lesbienne Auteur: chloe23, Source: Xstory

    ... mouvements.
    
    La grande bourgeoise, le feu aux joues, le corps dégoulinant de sueur, s’activait à grands coups de reins, pilonnant sans relâche l’abricot d’Annie qui laissa bientôt échapper de longs filets de mouille.
    
    Cette fois, Annie n’arrivait pas à se contrôler, à masquer le plaisir qui l’envahissait, malgré sa honte, toujours là au creux de sa poitrine. La taille plus "raisonnable" du gode y était peut-être pour quelque chose. A moins qu’elle ne s’abandonne maintenant plus facilement à ces pratiques perverses.
    
    — Ça te plaît, hein, ma salope ? Tu y as pris goût, à te faire démonter la chatte !
    
    — Oh, Madame Clotilde... faut pas... Mais elle n’arrivait plus à parler, à l’approche de l’orgasme.
    
    — Fous nous la paix, avec ta morale et tes bondieuseries ! Tu vas jouir ! Alors profites en !
    
    — Aaaaaaah......
    
    — Dis le, que tu jouis ! Dis le !!
    
    — Oui... Je... Je jouis... Je jouiiiiis...
    
    — Oooooh... Moi aussi, je... je viens !... Putain, c’est bon !!, hurla Clotilde, tandis que sa cyprine ruisselait le long de ses cuisses.
    
    Mais au grand dam d’Annie, cet orgasme ne calma pas sa patronne. C’est à peine si elle ralentit le rythme. Et bientôt, de petits cris d’animal blessé sortirent de la gorge d’Annie. Le plaisir renaissait au creux de son fourreau irrité par les va-et-vient du gode, et elle ne cherchait même plus à s’en cacher.
    
    A ce moment-là, Clotilde enduisit de mouille les doigts de sa main droite, et elle cracha entre les fesses d’Annie, juste ...
    ... sur son anus. Elle y introduisit doucement un doigt, l’enfonça, le ressortit... en enfonça un deuxième... Annie protestait, n’ayant jamais connu ce genre d’attouchement.
    
    — Non, Madame Clotilde... Vous n’avez pas le droit ! C’est défendu, glapit elle.
    
    En vain. Sa patronne n’avait qu’une idée : déflorer le petit trou de son aide ménagère. Ce n’est que pour cette raison qu’elle avait choisi ce gode. Sa taille était plus "acceptable" par ce beau cul vierge. Et en même temps, il procurait à Clotilde des sensations fabuleuses.
    
    Elle avait introduit un troisième doigt, dans le petit œillet plissé et sombre. Elle les tournait, les faisait coulisser dans l’étroit fourreau. Tant et si bien qu’Annie réussit à se détendre, et que des sensations inconnues commencèrent à irradier au départ de son petit trou, dans ses reins, au creux de son ventre.
    
    Lorsqu’elle s’en rendit compte, Clotilde retira le gode luisant de mouille de la chatte d’Annie, le remonta entre ses fesses qu’elle écarta, et força l’anus déjà dilaté avec l’extrémité du sex-toy. Annie ne cherchait même plus à se dégager. Sa patronne la maintenait contre la table, de tout le poids de son corps, et elle empoigna ses cheveux pour la forcer à se cambrer.
    
    La longue hampe rose fut engloutie lentement par le petit trou d’Annie, qui poussait de petits cris, sans qu’on puisse deviner si elle manifestait sa réprobation ou son plaisir. Sa rosette distendue la faisait souffrir. Elle ressentait dans ses tripes la progression, ...
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