Ma mère, à poil...pour un peu de pinard ! (5)
Datte: 23/03/2022,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... s’alanguit dans le siège conducteur et ferma les yeux de contentement. Puis, ayant fait un écart de conduite, sur la route (ou dans son rôle de mère parfaite ? ), elle remit ses deux mains sur le volant, et trouvant un espace dégagé au bord de la route, côté rivière, elle se gara puis arrêta le moteur.
Dans ma fougue incestueuse, je n’avais cessé de caresser la chatte maternelle, comprenant seulement à ce moment-là que nous avions évité la sortie de route dans le ravin, qui jouxtait la route de montagne étroite. Je regardai ma mère d’un air étonné. Celle-ci, les yeux brillants de luxure, reposant à nouveau une main avide sur mon sexe en érection, difficilement contenu par le pantalon, me souffla, un râle dans la gorge :
— Viens, on va faire l’amour, j’ai trop envie de ta queue !
Elle sortit rapidement, la robe encore vissée au niveau de son bassin, révélant sa paire de fesses excitantes et ses cuisses blanches. Elle me tira par la main pour descendre un petit sentier, qui s’arrêtait au niveau de la rivière, petit torrent impétueux qui s’écoulait au milieu de gros rochers.
Je suivais comme un somnambule, trop excité, drogué par une pulsion sexuelle démente, pour comprendre ce qui arrivait.
Arrivés sur la petite grève de galets ronds, elle retira instantanément sa robe jaune en stretch, pour apparaître dans tout le triomphe de sa nudité de femme mature incestueuse, le petit chaton de poils bruns encadré par le porte-jarretelles et les bas résille blancs. Puis, ...
... se retournant vers moi, et me lançant un regard de goule affamée, elle se jeta sur moi, défit avec impétuosité ma ceinture, ma braguette, fit descendre pantalon et slip, et m’arracha ma chemisette. Je me retrouvai également à poil, la bite bien dressée en bannière médiévale !
Elle se plaça à genoux, une main entre ses cuisses écartées, sur son sexe, et se branla avec beaucoup de vulgarité et d’impudeur, et saisissant ma queue sans ménagement, la porta à ses lèvres pour me sucer avec entrain, tandis que de sa main, elle me prenait les couilles, qu’elle malaxait et tordait, m’arrachant à la fois des plaintes de jouissance et de souffrance. Et puis, évitant l’issue fatale, elle se releva et me saisissant par la main, me tira dans le torrent, dont l’eau froide vint nous lécher les mollets puis les cuisses.
— Mon Dieu, je brûle, je suis tellement chaude, tu vas me baiser dans les remous : j’adore faire l’amour dans l’eau froide et tumultueuse !
Me laissant toujours guidé, j’obéissais en aveugle, ivre de luxure et de stupre. Elle se posa à genoux dans la chute d’eau, le sexe en contact sur une pierre polie, sur laquelle elle commença à s’exciter, tandis que l’eau lui dégoulinait avec violence, sur les seins et les épaules, puis me cria :
— Vas-y baise-moi, prends-moi en levrette !
Se plaçant à quatre pattes dans le déferlement aquatique, l’eau lui arrivant parfois sur le visage, elle m’offrit son abricot tout luisant et confortablement ouvert. D’une poussée violente, ...