Ma mère, à poil...pour un peu de pinard ! (5) - Histoires de Sexe

Ma mère, à poil...pour un peu de pinard ! (5)

... pièce à côté de laquelle je me trouvais !

— Tu commences vraiment à me faire chier, Serge !

— Et toi, toi... tu faisais quoi ? Tu as regardé ta mère se faire démonter par cet alcoolique ? Tu es immonde !

Gronda mon père à mon encontre !

— Il a même participé ! souffla ma mère, goguenarde.

— QUOI ??!! Tu as couché avec ta mère, et toi espèce de traînée, vipère lubrique, tu l’as laissé faire ?

— C’est même moi qui lui ai demandé !

— Mais tu crois que je vais accepter ça ? " Dit mon père, en armant son bras, pour certainement me mettre la plus belle tarte dans la gueule depuis Abraham et son fils.

Mais ma mère fut plus vive, elle prit son sac et en mit un grand coup sur la tête du paternel ! Celui-ci prit directement sur le crâne un sac bourré de trucs inutiles et lourds, comme tout sac féminin...(oups, je vais encore me faire plein de copines) et il s’affala sur son volant.

Ma mère sortit de la voiture, et me demandant mon aide, transporta le "poids mort" sur la banquette arrière. Se plaçant au volant, et me jetant un coup d’œil complice, elle me dit :

— Bon, on va la trouver cette pompe à essence !

— Oui maman ", dis-je, en louchant sur ses cuisses, dont la robe si courte révélait les jarretelles.

Et puis par magie, alors que les kilomètres s’égrainaient sans la moindre présence humaine, la robe se remontait centimètre par centimètre, vers le haut de son bassin, révélant chaque fois un peu plus les détails de son pubis ! Bientôt, toute ...

... la délicieuse fourrure noire était là, à portée de main... j’osais y jeter des coups d’œil discrets, mais très furtifs. Je n’avais pas envie de partager le sort malheureux de mon paternel. Évidemment, ma mère voyait mon manège.

— Alors, tu mates la chatte de maman, petit pervers ? Me dit-elle, le sourire aux lèvres.

— Ben, heu... non.

— Petit menteur ! Tu veux me mettre la main... moi je pourrais aussi m’occuper de toi, vilain coquin !" Dit-elle, un grand sourire vicieux aux lèvres.

Évidemment, il était plus que surhumain de résister à une telle tentation... et puis comme je suis un très bon fils, j’obéis toujours à ma “moman” !

Alors, je mis une main très nerveuse sur la cuisse maternelle, et puis, j’osai plonger mes doigts dans la fourche des cuisses, sous la toison brune. Là, mes doigts trouvèrent tout de suite la vulve brûlante et si délicieusement humide. Ma mère écarta les cuisses pour me permettre de forcer le puits d’amour et de luxure...

Alors, tout en conduisant, elle exhala une plainte tandis que mes doigts caressaient les lèvres, venaient titiller le clitoris bien gros, et pénétraient le vagin. Bientôt, j’eus trois doigts dans la vulve brûlante, tandis que mon pouce venait masturber le clitoris. Ma mère, pas en reste, avait sa main droite sur la bosse de mon pantalon, tandis que de l’autre, elle pilotait la voiture.

Au vu des soupirs de plus en plus nombreux et intenses, je compris qu’elle commençait à prendre son pied ! A un moment, elle ...