Ma mère, à poil...pour un peu de pinard ! (5) - Histoires de Sexe

Ma mère, à poil...pour un peu de pinard ! (5)

Dans la voiture, l’atmosphère était... comment dire... un peu plombée !

Ma mère, assise dans le siège passager, gardait les cuisses terriblement serrées et ses mains dessus, dont elle tournait les doigts avec nervosité.

Mon père lançait des regards furtifs à sa splendide et très sexuelle épouse. Surtout au niveau de ses cuisses, avec ses jarretelles très visibles !

Son air était toujours scrutateur et interrogateur. Il semblait se demander pourquoi sa femme, si impudique et sexuellement disponible quinze minutes plus tôt, s’était refermée comme une moule... heu, une huitre ! Il rongeait son frein.

Quant à moi, bloqué dans le coin de la banquette arrière, pour essayer de voir les cuisses de ma mère, et peut-être la main de mon paternel venir agacer la petite chatte maternelle, j’espérais un miracle... et il arriva :

— Merde, ça clignote ! Il va falloir "faire" de l’essence !

— T’es vraiment un abruti Serge ! Tu ne pouvais pas y penser plus tôt. Dans ces gorges, on ne trouvera pas un village, avec un pompiste, si nous avons de la chance, avant au moins trente kilomètres. Tu nous vois, bloqués dans le trou du cul du monde, avec la nuit qui va bientôt arriver ?

— T’auras qu’à faire du stop maman ! Y aura plein de mecs qui vont s’arrêter avec ta dégaine de...

Dis-je inconsidérément... avant de me rendre compte de ma bourde monumentale !

— De quoi ? DE QUOI ??!! Benjamin ? Tu peux finir ta phrase, s’il te plaît ?

— Heu... heu... déglutis-je avec ...

... effort. (La honte me prenait dans ses serres mortelles. Je n’arrivais plus à commencer la moindre phrase.

)

— DE PUTE ! TU ME PRENDS POUR UNE PUTE ! Moi, ta mère ! Et qui c’est qui me les a données, ces fringues de salope ? Mon fils adoré ! Et pourquoi je me suis retrouvée à poil, dans la cave à vin de ce pervers de vieux schnock, sa queue entre mes cuisses ? Grâce à mon connard de mari, qui voulait un peu de pinard pas cher ! Tu me vendrais pour avoir un bon millésime !

— Attends, tu peux répéter ?? La queue du vieux entre tes cuisses ? Mais il t’a baisée ? ” Gronda mon père sur une note aiguë.

Alors là, ce fut extrêmement comique. Ma mère se retourna vers moi et nos regards ahuris se croisèrent. Une seule pensée nous venait à l’esprit sans communiquer : “ il le fait exprès ou il se fout de nous... ou il est sérieux ??”

Mon père poussa un "bon coup de patins", et la voiture familiale s’arrêta sur le bas-côté. Mon père se retourna vers nous. Il était à la fois ahuri et rouge de colère.

— Tu t’es laissée baiser par ce vieux dégoûtant ? Mais tu n’as donc aucune fierté ?

— Mais tu te fous de ma gueule ou quoi ? Tu ne savais pas ce qui allait se passer ? Tu ne l’as pas vu me mater entre les cuisses. Même toi, tu as pu voir ma chatte, gronda ma mère sur un ton dangereux.

— Oui bien sûr, c’était même très excitant. Il te matait... il voulait te baiser, mais tu aurais pu refuser. Merde alors, tu t’es laissée monter par un type, et un vieux en plus, juste dans la ...