Marie.... si tu savais... (1)
Datte: 23/03/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory
... jouit intensément, longuement, en tenant la tête de Solweig. En se relâchant, anéantie par son plaisir, elle lança :
— Ouiiiiiiiiiiiiiiih, c’est trop bon !
Solweig sortit de dessous la couette et s’approcha du visage de Marie qui reprenait son souffle. Les deux femmes s’embrassèrent avec fougue. Elles se mangeaient littéralement la bouche alors que leurs langues faisaient sauvagement l’amour. Dans les bras l’une de l’autre, les deux femmes ne faisaient plus qu’une. Marie s’excusa :
— Je suis égoïste quand même. Il n’y a que moi qui ai pris du plaisir.
— Parce que tu crois que je n’ai pas apprécié ce que je faisais. C’est mal me connaître, et puis la nuit n’est pas finie, la belle.
Marie confia à mi-voix :
— Je suis heureuse...
— Et si c’était à ton tour d’essayer ?
— Essayer ?
— Oui, fais-moi jouir, à ton tour. Je vais te guider, tu vas voir comme c’est doux...
Solweig, comme promis, guida les premiers pas de Marie dans cette toute nouvelle expérience. Pas à pas, elle l’accompagna dans la recherche du plaisir lesbien. Marie comprit bien vite que ce qu’elle pratiquait déjà sur elle-même à la recherche de son propre plaisir, elle devait désormais l’appliquer au corps d’une autre. Elle se révéla une élève extrêmement douée et assidue. C’était comme si au fond d’elle-même, elle avait toujours eu cette envie de donner du plaisir à une autre femme, une envie qu’elle avait développée au cours de ses fantasmes nocturnes. Elle était décidée, les ...
... barrières tomberaient les unes après les autres. Plus aucun tabou ne l’arrêterait. Les deux jeunes femmes étaient enlacées, offertes l’une à l’autre.
Solweig caressa les cheveux de son amante, puis elle lui prit la tête dans les mains et posa sa bouche contre la sienne, lui mordillant les lèvres avant d’y introduire sa langue. Marie se laissa d’abord faire puis prit très vite l’initiative. Elle se pencha sur la poitrine menue de sa nouvelle amie et rechercha ses seins. Les tétons de Solweig pointaient insolents, Marie les téta avec délectation, faisant onduler le corps de sa victime. Elle passa d’un sein à l’autre pour ne pas faire de jaloux. Aspirant les mamelons, titillant les tétons du bout de sa langue. Elle agissait au naturel.
Les tremblements de Solweig ne pouvaient que l’encourager à continuer. Sa bouche quitta ce nid douillet et descendit sur le ventre plat de sa proie. Au passage, elle glissa le bout de la langue dans le creux du nombril de la blonde avant de filer encore plus bas.
Solweig répondait bien aux caresses qu’on lui imposait. Elle se cabrait, soupirait, tout excitée. Elle ouvrit en grand ses jambes et accueillit avec volupté cette bouche qui se posait pour la première fois sur un sexe de femme. Les lèvres de Solweig étaient trempées. Marie s’appliqua à en goûter le jus avant de s’intéresser à ce clitoris qu’elle avait l’intention de bien branler, une pratique qu’elle-même appréciait particulièrement et dont elle était passée maître dans l’art de s’en ...