1. Marie.... si tu savais... (1)


    Datte: 23/03/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Le Matou libertin, Source: Xstory

    ... sa « masseuse ». Trois coups étouffés sur la porte de la salle de bain les arrêtèrent dans leur élan. C’était Jean qui se manifestait.
    
    — Bonne nuit les filles, je vais me coucher, je suis crevé. A demain !
    
    Marie regarda Solweig et lui sourit. C’est encore la main de Solweig qui réveilla Marie au cœur de la nuit. Dans son sommeil, comme par réflexe, cette main s’était agrippée à son épaule comme elle devait le faire, il y a encore quelques jours, avec son désormais « ancien amant ».
    
    De retournement en retournement, les deux femmes s’étaient rapprochées dans ce grand lit qui abritait habituellement les ébats du couple. Au fil du temps, le corps quasi nu de la jeune blonde avait épousé celui de sa nouvelle amie. En position fœtale, ses petits seins contre le dos de Marie, son ventre contre ses fesses, ses lèvres sur la nuque de son hôte.
    
    Marie n’osa bouger de peur de mettre un terme à cette union charnelle. La chaleur de ce jeune corps, le soyeux de sa peau, le souffle chaud de la jeune blonde qui caressait sa nuque en cadence plongeaient Marie dans un total abandon. Son ventre frémissait rien qu’à cette idée et désormais plus rien ne la retenait, il était temps pour elle de franchir le pas, de crier ce désir de volupté, de plaisir absolu, de répondre à ce besoin de caresses, son rêve d’embrasser à pleine bouche cette inconnue que le sort avait mise sur sa route. Marie n’avait jamais eu de relation saphique, la vie lui en offrait l’occasion et elle n’avait pas envie ...
    ... de la laisser passer. Fini les tabous, au diable ce que l’on penserait d’elle. Cette rencontre ne pouvait être qu’un miracle. Sa main se glissa vers son sexe dont l’humidité trahissait son émoi. Délicatement, son index chercha le merveilleux bouton déjà dressé. Hier soir, Marie n’avait pas osé.
    
    En regagnant la chambre, elle s’était pourtant, sans pudeur, débarrassée de son peignoir devant sa jeune compagne et avait revêtu un pyjama en pilou, car elle était d’un naturel frileux. Un pull de laine, sur son torse nu, avait complété sa tenue. Solweig, quant à elle, le plus naturellement du monde s’était elle aussi dévêtue, dénouant la serviette de bain dans laquelle elle s’était enroulée après sa douche avant de s’installer dans le lit.
    
    Bien qu’elle lui ait tendu souvent la perche en se montrant tour à tour câline et mutine, Marie était restée sage. Tout cela était si nouveau pour elle. C’est surtout la peur de tout briser qu’il l’avait empêchée de répondre aux avances de la jeune femme qui s’adonna, sous la couette, à quelques confidences des plus croustillantes sur sa vie intime. Sans fausse pudeur, avec franchise et naturel, elle lui avouait ainsi la totale confiance qu’elle lui accordait, un véritable aveu, surtout de l’amitié naissante qu’elle lui portait.
    
    De nombreux éclats de rire ponctuèrent ces confessions. Au moment de s’endormir enfin, alors que les yeux commençaient à se fermer après cette journée bien particulière, Solweig, nue dans un tee-shirt trop grand, ...
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