1. Second Empire des Sens


    Datte: 22/03/2022, Catégories: fh, caférestau, fête, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, jeu, historique, initfh, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... elle des avantages que votre fille ne possède sans doute pas…
    — Ma fille peut rivaliser sans souci avec elle.
    
    Je me penche à son oreille :
    
    — Si votre fille est capable de rivaliser avec ma future épouse, c’est qu’elle est très au courant des joies de la vie. Peut-être trop…
    
    À son air, je pense qu’il a compris où je voulais en venir. Il bafouille avant de s’éloigner :
    
    — Ah oui… je… je comprends mieux… Excusez-moi…
    
    Je sens qu’il va y avoir d’ici quelque temps une singulière rumeur qui va courir dans les rues de la capitale. Elle sera bien vite chassée par une autre. Je rejoins ma future épouse, je capture sa main et je l’entraîne vers un balcon, loin de la foule. Faisant fi des bonnes convenances, je l’enlace. Mais avant que je ne l’embrasse, posant un doigt sur mes lèvres, elle demande :
    
    — Je rêve ou quoi ? Vous venez de me demander en mariage devant tout ce monde ?
    — Non, vous ne rêvez pas, chère Valentine.
    — Et si je n’étais pas d’accord ?
    — Je crains que vous n’ayez plus le choix…
    — Encore une de vos manipulations, Armand ?
    — J’adore vous manipuler, votre corps est si somptueux !
    
    À ces mots, elle rougit un peu :
    
    — Décidément, vous n’êtes pas sérieux ! Je ne comprends pas, Armand. Vous auriez pu faire un beau mariage et c’est avec moi que vous voulez convoler.
    — Dois-je comprendre que j’aurais dû me marier avec une jouvencelle à grosse dot et vous garder comme maîtresse ?
    — Certains hommes ne se gênent pas !
    — Votre avis à vous, Valentine, ...
    ... le vôtre !
    
    Elle hésite un peu :
    
    — Je… je préfère être la seule dans votre cœur… et dans votre lit… Mais s’il avait fallu en passer par là, je serais néanmoins restée votre maîtresse, mon tout doux.
    — Voilà qui est honnête, ma chère Valentine. À mon tour d’être honnête avec vous : vous restez ma maîtresse, mis à part que vous devenez aussi mon épouse pour que je vous aie toujours sous la main, car je suis assez possessif. Et puis, vous ne venez pas sans dot, si c’est ça qui vous chagrine.
    — J’ai quelques biens, mais ils ne sont rien à côté de tout ce que vous avez.
    — J’ai un peu plus de biens que vous, certes, mais ils ne sont rien à côté de tout ce que vous avez sur vous et de tout ce que vous êtes pour moi.
    
    Elle m’adresse un large sourire :
    
    — Donc, vous m’aimez, n’est-ce pas ?
    — Disons que j’ai une certaine inclination pour vous…
    — Vous ne me le direz jamais, n’est-ce pas ?
    — Qui sait…
    
    Faussement affligée, elle secoue la tête. C’est alors qu’elle s’enhardit :
    
    — Embrassez-moi, Armand !
    — Avec plaisir !
    
    Tandis que nos lèvres se soudent, je constate avec plaisir que ma future épouse s’émancipe vite. Elle ose exprimer ses attentes, elle me l’a encore prouvé récemment, en exigeant à mots couverts, une certaine position qui lui avait beaucoup plue. Tout ce que j’espère, c’est de ne pas trop la libérer, car même si j’ai pu tâter en mon jeune temps à des orgies, je ne suis pas très enclin à partager ma maîtresse ni ma femme.
    
    En attendant, je profite des ...