Second Empire des Sens - Histoires de Sexe

Second Empire des Sens

... !
— Je suis très heureux avec vous, ma chérie. J’espère qu’il en est de même pour vous.

Sans cesser de me branler, elle se moque gentiment :

— Oh ? Est-ce bien vous qui devenez inquiet ? Auriez-vous peur de me perdre ?
— Décidément, bien des choses ont changé, vous n’auriez jamais dit cela auparavant !
— Regrettez-vous l’ancienne Valentine ?
— J’aime toutes les Valentines qui sont en vous !

Elle me regarde avec un large sourire :

— Ça y est, vous l’avez enfin dit : vous m’aimez !
— Euh… disons que…
— C’est bien la première fois que vous n’avez pas de réponse à me fournir ! Vous aimez toutes les Valentines en moi, même celle-ci ?

Et à mon grand étonnement, elle pose ses lèvres sur le bout rond de ma verge. Puis elle s’enhardit à donner un petit coup de langue. Puis un deuxième, et d’autres… Bientôt, mon gland disparaître entre ses lèvres. Attendri et excité, je caresse ses cheveux, Valentine est un peu maladroite, mais elle est visiblement pleine de bonne volonté !

Elle retire ma verge de sa bouche, pour aspirer plein d’air :

— Ouf ! Je n’arrive pas bien à respirer en même temps…
— Allez-y plus lentement, n’hésitez pas à faire des petites pauses…
— Je suppose que d’autres femmes vous ont déjà fait ce genre de chose ?
— Je mentirais en disant non…

Elle regarde ma verge bien raide et luisante de sa salive, puis avoue :

— Je m’attendais à pire, à ce que ce soit vraiment très… très dégradant…
— Ah bon ? Dans ce cas, pourquoi l’avoir fait ?
— ...

... Parce que je voulais savoir, mon tout doux. Il y a ce que je pense, ce que je pensais plutôt, et il y a ce que vous me dites. Et ce que vous me dites est plus séduisant que ce que je croyais. Comme tout à l’heure vos mots crus. Finalement, ils étaient séduisants, j’ai aimé les entendre, j’ai aimé les dire.

Je ne dis rien, je continue de caresser ses cheveux. Elle donne un long coup de langue suave sur ma verge, comme s’il s’agissait une grande sucette sucrée. Puis elle dit :

— Je sais que vous adorez me dévergonder. Mais je sais aussi que c’est pour mon bien, pour mon plaisir. Vous êtes un étrange professeur à votre façon, Armand.
— Je me voyais plutôt comme un industriel, pas trop mauvais en finances.
— Vous raisonnez en termes de rentabilité ?
— Effectivement… j’investis…
— Et depuis notre rencontre, auriez-vous investi sur ma petite personne ?
— Oui, j’ai effectivement investi sur votre mignonne personne, un des meilleurs investissements de ma vie !
— Je n’y connais pas grand-chose, mais je suppose que vous souhaitez quelques dividendes…

Et avant que je ne réponde, elle engloutit posément mon sexe pour entamer une somptueuse fellation, peut-être un peu maladroite, mais terriblement efficace et sincère. J’ai énormément de mal à savoir me freiner, sa langue est trop sensuelle, ses doigts qui branlent ma base, la serrant comme il se doit. Sa bouche ondule, tournoie autour de ma verge, la faisant parfois complètement disparaître entre ses lèvres. Quasiment une ...