Second Empire des Sens
Datte: 22/03/2022,
Catégories:
fh,
caférestau,
fête,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
jeu,
historique,
initfh,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... s’agitent dans son entrejambe.
— Aimez-vous ma queue dans votre cul ?
— Oui, j’aime… Oooh !
— Dites-le mieux que ça !
— Oui, j’aime votre queue dans mon cul ! Oooh ! Hmmm !
— Redites-le !
— Oui, j’aime votre grosse queue dans mon cul ! Ooh ! Que me faites-vous dire là, gros cochon !
J’y vais de plus belle, coulissant avec volupté dans ses profondeurs, rivé sur ses belles fesses rondes :
— J’adore être en vous ! J’adore être votre gros cochon !
— Oooh ! Vous… vous êtes un gros, gros, gros cochon ! Oooh !
J’adore l’entendre dire des petites grossièretés, signe évident qu’elle se lâche. Ma maîtresse commence à sombrer dans la jouissance, je reconnais sans erreur possible ses petits cris annonciateurs. Je pistonne son magnifique cul, bien décidé à me lâcher complètement dedans, et à le remplir, à le faire déborder, parce que Valentine est mienne !
Nous explosons presque en même temps, un tourbillon s’empare de moi, je sombre totalement, enveloppé par les tressaillements et les cris de jouissance de ma maîtresse. J’aurais dû résister un peu plus longtemps, mais dès que je suis en elle, j’ai toujours des difficultés à rester maître de mes actes, une sorte de folie s’empare de moi, et je redeviens animal…
Tandis qu’elle est blottie contre moi, le corps alangui et repu, elle me questionne :
— Je crois que vous m’avez fait franchir une nouvelle étape…
— Est-ce que vous avez aimé, ma douce ?
— Hmnm, un peu choquée par ces propos… au début… Mais c’était ...
... si excitant de les dire !
— C’est le but, de les dire…
Elle se tait, se blottissant encore plus contre mon corps nu, sa main sur mon torse, se laissant câliner. Soudain, elle murmure :
— Et puis…
— Et puis ?
— Mon mari passait au même endroit que vous, quand j’étais indisposée. Mais je n’appréciais pas cette façon… Mais avec vous…
— Vous aimez quand je vous honore de cette façon ?
— Ce… ça reste toujours un peu étrange, mais ça me fait plein de choses dans le ventre…
Je capture ses lèvres pour la remercier à ma façon de cet aveu. Elle répond avec joie à mon baiser. Puis, l’un contre l’autre, nous sombrons dans une quiétude réparatrice. Un peu plus tard, elle rompt le silence :
— Armand, franchement, pourquoi moi ?
— Justement, pourquoi pas vous ?
— Vous biaisez, Armand…
— Non, très chère, je baise !
Elle s’offusque, tout en restant collée contre moi :
— Oh ! Quel vilain mot !
— C’est juste un mot, un verbe. Pourquoi vous ? Parce que vous m’avez plu la première fois que je vous ai vue. J’ai demandé à l’un de mes voisins s’il vous connaissait. C’est ainsi que j’ai pu en savoir un peu plus sur vous. Je voulais tout savoir de vous.
Elle s’obstine :
— Je ne comprends toujours pas.
— Faut-il qu’il y ait une explication à tout ? Justement, ma chérie, à ce propos, dites-moi donc pourquoi je vous plais…
Je ne m’attendais pas à ce que la réponse fuse aussitôt :
— Parce que vous êtes gentil.
— Merci. C’est tout ?
— Vous êtes aussi bel homme, je ...