De père en fils .... (1)
Datte: 20/03/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... à l’emboucher entièrement lorsque mon visage se presse contre son bas-ventre.
Le patriarche commence à se raidir et je comprends qu’il cherche à se retenir le plus longtemps possible pour en profiter encore un peu. Je décide, pour l’achever, de le branler d’une poigne vigoureuse tout en lui tétant le gland. Mes doigts s’enroulent autour sa bite gonflée de sang et coulissent lentement de bas en haut ; mes lèvres se font ventouse et aspirateur.
Soudain, le voici qui se crispe, plaque ses deux mains sur ma tête et se répand dans ma bouche en longs jets épais. Je m’applique pour recueillir jusqu’à la dernière goutte de son sperme. Comme le vin, le foutre se bonifie peut-être avec l’âge ! La bouche pleine, je me relève, l’embrasse sur la bouche tout en lui transférant une partie de son foutre. J’avale la gorgée que j’ai puis je lui dis
— J’adore le goût de la luxure !
Il déglutit puis me regarde sans parler. Je lui dis alors
— Marc Antoine, j’ai apprécié cet instant d’égarement. Bien sûr tout cela reste entre nous !
Il me répond enfin
— Bien sûr Hélène. J’espère avoir le plaisir de mieux vous découvrir pendant la suite de votre séjour !
Je lui fais un grand sourire et je lui dis
— Soyez très discret et restez sage dans vos gestes. Je ne voudrais pas que mon mari et les vôtres découvrent notre petit secret.
Il acquiesce
— Oui, vous avez raison !
La robe à la main, je quitte sa chambre en ondulant de la croupe. Sans me retourner, je devine les ...
... yeux du vieil homme fixés sur ma croupe et imaginant déjà d’autres instants plus coquins.
La journée se poursuit comme une journée normale de vacances dans le sud. A aucun moment, Marc Antoine ne fait un geste ou n’a un regard qui pourrait laisser penser qu’il y a eu quelque chose entre nous.
Le lendemain matin, il est à peine 6h30 lorsque je me réveille. Si ce n’est les ronflements de François qui résonnent dans notre chambre, la villa est silencieuse. Avec souplesse et discrétion, je me lève et sors de la chambre. Arrivée au fond du couloir, j’entre dans celle du maître de maison. Alors que je fais glisser à mes pieds ma fine nuisette de soie noire, Marc Antoine écarte le drap du lit pour me faire de la place.
Pendant une bonne vingtaine de minutes, sans échanger une seule parole et alors que les cigales commencent à chanter dans le jardin, nous copulons comme deux bêtes. Je suis sur lui et je le chevauche. Sa queue est bien plantée en moi et j’ondule en me caressant le bourgeon tandis qu’il me dévore les seins. C’est ensuite lui qui vient sur moi, me besogne comme un jeune étalon tout en m’embrassant à pleine bouche. Que c’est bon de sentir son énorme sexe détendre mes chairs et cogner au fond de ma chatte. François est bien monté mais il est loin d’égaler le vieil homme. Enfin, il se déverse en moi en longs jets. On ne dirait pas que je l’ai déjà bien vidé de ma bouche la veille pendant la sieste !
Toujours sans un mot, je me relève, enfile ma nuisette et repars ...