1. De père en fils .... (1)


    Datte: 20/03/2022, Catégories: Hétéro Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... il les mordille comme un petit chiot tétant sa mère. Je ferme les yeux et laisse mes tétons se gonfler de plaisir. Ma robe est maintenant grande ouverte et les deux mains de Marc Antoine se plaquent de nouveau sur mes fesses pour m’interdire de reculer. Cela est bien inutile car mes forces m’abandonnent et je me laisse gagner par cette onde brûlante de plaisir qui monte en moi.
    
    Le coquin continue son œuvre, il sait que la partie est gagnée pour lui. Quand sa bouche me mordille un téton, ses doigts me pincent délicatement l’autre. J’ai la chair de poule, je ne sais pas si c’est sous l’effet de la légère douleur qui m’irradie la poitrine ou sous celui de l’excitation d’être ainsi offerte à ce vieil aristocrate qui a l’âge de mon père.
    
    Je suis dans un état second lorsque ses mains s’emparent de mon string et le font descendre jusqu’à mes yeux. Une fois retiré, Marc Antoine s’empare de la fine lingerie et la porte à ses narines. Il hume mon parfum intime et semble s’enivrer des fragrances acres de ma chatte. Il me dit
    
    — Quel doux parfum, cela fait si longtemps !
    
    Puis il poursuit
    
    — Et vous mouillez comme une fontaine ma chère Hélène. Votre mari a bien de la chance d’avoir une épouse telle que vous.
    
    Tout en glissant mon string dans la poche de sa robe de chambre, il ajoute
    
    — Je le garde en souvenir si vous n’y voyez pas d’inconvénient.
    
    Puis il m’oblige à bien écarter les jambes et son visage descend jusqu’à mon pubis.
    
    Je sens son souffle chaud sur mes ...
    ... poils pubiens ainsi que la pointe de sa langue sur ma fente. Je me cambre légèrement en arrière pour rendre plus accessible mon entrejambes.
    
    S’écartant de moi, il me dit
    
    — Mettez-vous à genoux et montrez moi ce que vous savez faire de votre bouche.
    
    Sa voix est à la fois calme et autoritaire ; je m’exécute et c’est maintenant moi qui écarte les pans de son vêtement. Je découvre avec stupéfaction un gros et long sexe au repos.
    
    Agenouillée sur le sol, je prends en bouche la tige qui, bien rapidement, grossit sous ma langue. Malgré le poids des ans, le vieil aristocrate est encore fait d’un bois bien vert et n’a rien à envier aux mâles plus jeunes que lui. J’ai maintenant entre les lèvres un énorme gourdin bien dur dont le gros gland violacé cogne au fond de ma gorge.
    
    Marc Antoine semble apprécier ma fellation car il s’est avachi dans son fauteuil, le bas-ventre bien avancé vers l’avant, les épaules et la tête en arrière. Il jubile de plaisir
    
    — Oh, Hélène, que c’est bon ! Vous êtes divine !
    
    — Dès que je vous ai vue, j’ai su que vous étiez une fieffée coquine.
    
    — Vous sucez bien mieux que Janine.
    
    Ainsi il doit, de temps en temps, culbuter son employée de maison pour satisfaire ses envies. Quel sacré bonhomme !
    
    Et bien, puisque je suis une fieffée coquine comme il dit, je vais lui montrer mes talents. Tandis que je continue à le téter et à l’aspirer, je lui malaxe les bourses et lui caresse les cuisses. Je serre bien les lèvres autour sa hampe et je veille ...
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