De père en fils .... (1)
Datte: 20/03/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... l’oreille
— Tout à l’heure pendant la sieste, venez donc dans ma chambre me remontrer combien cette jolie robe vous va si bien !
De retour à la villa, nous retrouvons François et le jeune Pierre-Henri qui discutent au bord de la piscine à l’ombre des pins maritimes. Sortant la robe de mon sac, je dis à mon mari
— Que penses-tu de cette robe d’été que je me suis achetée au marché ?
Il me répond
— Excellent choix ma chérie.
Une fois le déjeuner terminé, Marc Antoine nous abandonne rapidement pour aller se reposer un peu comme il le fait tous les jours. Tandis que nous prenons le café sous la pergola, François me demande si je souhaite aller avec lui jusqu’à Ramatuelle pour jeter un œil aux galeries d’art contemporain. Je refuse sa proposition prétextant quelques appels téléphoniques à passer à de vieilles amies. Heureusement pour moi, sa déception est de courte durée car Pierre-Henri lui propose de l’accompagner afin de bénéficier de ses conseils d’expert.
Je remonte ensuite dans notre chambre pour ranger quelques effets. Entendant un moteur tourné, je me mets à la fenêtre et regarde partir François et Pierre-Henri. Je patiente quelques minutes puis change de tenue.
Avec précaution, j’entrouvre la porte de la chambre et regarde dans le couloir pour vérifier que Janine, l’employée de maison, ne traîne pas dans les parages. Heureusement, tout est silencieux dans la villa qui semble endormie sous le soleil. C’est un bonheur de marcher pieds nus sur les ...
... tomettes de terre cuite qui recouvrent tout le sol de l’étage.
Ayant repéré la veille que la chambre du maître de maison se situait tout au bout du couloir, je me dirige vers la porte où je devine Marc Antoine m’attendant avec impatience. Avant d’entrer, je gratte à la porte comme le ferait une chatte puis j’ouvre légèrement la porte et me glisse silencieusement à l’intérieur. Une douce et fraîche pénombre baigne la pièce que je devine meublée dans le style vieux provençal. Marc Antoine est assis dans un fauteuil en bois près du lit, il a quitté ses vêtements de la matinée pour enfiler une sorte de robe de chambre en fine soie. Je m’avance vers lui avec lenteur puis, une fois à un mètre de lui, je lui demande
— Voilà Marc Antoine, j’ai remis la robe pour que vous puissiez en profiter de nouveau.
Sans quitter son fauteuil, le vieil homme m’attire à lui et ses mains se plaquent sur mes fesses. Son visage s’enfouit entre mes deux seins et il me dit
— Cette robe vous va vraiment à merveille. Et le tissu est si doux !
Ses mains descendent ensuite derrière mes cuises, remontent sur le devant, suivent le contour de mes hanches puis se mettent à déboutonner le devant de la robe. Une fois les premiers boutons de nacre rose défaits, mon admirateur écarte les pans de ma robe et poursuit ses commentaires
— Oh oui, sans soutien-gorge, cette robe vous va bien mieux !
Tandis que ses doigts continuent de défaire les boutons suivants, sa bouche vorace s’empare de mes seins et ...