1. Chloé


    Datte: 13/08/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, extracon, vacances, forêt, amour, volupté, Oral pénétratio, mélo, nostalgie, Auteur: Barnabé, Source: Revebebe

    C’était en 1968. Je crois qu’il s’est passé un truc important cette année-là. Je me rappelle plus quoi.
    
    Ce dont je me rappelle, c’est qu’on était au camping.Le canard boîteux, que ça s’appelait. J’étais avec ma femme et les gosses, forcément. La 203 était bien vieille mais elle nous avait traînés jusque là. C’était la première fois qu’on venait, on ne connaissait personne. Heureusement, les voisins étaient sympas. Jean-Louis, il venait depuis 14 ans. Il m’a présenté la moitié du camping.
    
    Chloé, il ne me l’avait pas présentée. Faut dire, on jouait pas dans la même cour. Elle était toujours avec les copines de son âge. Elle était tellement mignonne, tous les mecs la regardaient. Elle, elle regardait personne, à part ses copines.
    
    Qu’est-ce qu’elle m’a trouvé, franchement je n’en sais rien. Faut dire, j’ai pas trop cherché à comprendre. Un bonheur pareil, on le prend sans discuter. On réfléchit même plus.
    
    C’était pas une histoire ordinaire. On a totalement craqué, tous les deux. On se retrouvait le soir. On était fous l’un de l’autre. On s’embrassait comme des lycéens. Malgré ma grosse moustache. Ben oui, rigolez, à l’époque beaucoup de gens portaient la barbe ou la moustache. C’était pas encore beauf et ringard. Ça fait longtemps que je l’ai rasée. De toute façon, maintenant j’ai le poil tout blanc et plus personne m’embrasse. Je préférerais bien avoir encore ma moustache beauf et ringarde, et qu’elle soit là pour m’embrasser. Mais bon, je n’ai plus ma moustache, et ...
    ... je n’ai plus Chloé, c’est comme ça.
    
    Bref, on s’embrassait. Je la pelotais. Quels seins ! Ils tenaient tous seuls, pas de soutien-gorge sous son petit débardeur. Une forme parfaite. Surtout quand le téton pointait. Je les tétais. Elle se laissait faire. Ça ne la faisait pas spécialement chavirer. Elle attendait la suite.
    
    La suite, c’était quand je mettais la main dans sa culotte. Alors là, oui, elle se cambrait, elle haletait, elle se serrait contre moi. Je sentais l’humidité qui coulait de son sexe, qui mouillait mes doigts et la culotte. Elle disait : « Oui, oui ».
    
    Après, il fallait vérifier qu’il n’y avait personne dans le coin. Si c’était calme, je lui enlevais son short et sa culotte, et j’en profitais pour fourrer ma tête entre ses cuisses, pour lui envoyer un coup de langue. Mais elle me disait : « Viens, viens ! ».
    
    Alors je me relevais, et je la prenais là, contre un pin. Elle se pendait à mon cou et mettait ses jambes autour de ma taille. Il faut dire qu’elle ne pesait pas lourd, et que j’ai toujours été costaud, un grand gaillard. Enfinj’étais un grand gaillard… Enfin…
    
    Je la ramonais bien fort, elle fourrait sa tête dans mon cou, m’embrassait, me léchait, et même, une ou deux fois, elle m’a fait un suçon. De toute façon, ma femme savait. Elle savait, elle faisait la gueule, mais elle était patiente.
    
    Je la ramonais, longuement. Je la regardais : qu’elle était belle! Lisse, jeune, bronzée ! Le plaisir la bouleversait, elle me regardait avec ses yeux ...
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