L'éducation de Juliette (8)
Datte: 15/03/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: tarbenero, Source: Xstory
... réveillent.
— Prends-moi mon amour, j’ai trop envie.
— Attends ma chérie, ne sois pas pressée. Tu as déjà joui, pas moi. Suce-moi d’abord !
Je m’installe entre ses cuisses, accroupie. Je m’empare de son zob et entreprends de le lécher sur toute la longueur. Depuis le train, j’ai envie de sentir une bonne bite, de l’avaler. Je l’engloutis, ma bouche la cajole, la langue formant une gaine où elle se développe.
D’instinct, j’ai pris la position que Jean m’impose à la maison, devant la fenêtre, quand Arsène nous mate : cuisses écartées, cambrée, le cul et la chatte offerts, sans penser que des voyeurs puissent être embusqués derrière les buissons, ou, peut-être dans l’espoir qu’il y en ait.
Ma bouche coulisse le long de la pine de Jean. Il m’a fait découvrir combien j’aime sucer une belle bite, avaler le foutre qui en jaillit. Je m’applique de tout mon cœur pour faire plaisir à mon amour, celui-ci glisse un doigt sur ma chatte, écartant mes lèvres, branlant mon clito, je m’offre encore plus, m’écartant au maximum.
Soudain, deux mains se posent sur mes fesses, les écartant encore, je veux protester, Jean m’en empêche, me bloquant pour que je ne puisse pas bouger. Une langue râpeuse parcours ma raie culière, s’attardant sur ma rosette, la léchant, la pénétrant. Sous l’effet de cette caresse, toute velléité de révolte m’abandonne, Jean veut m’offrir, et bien laissons faire. La langue continue son travail.
Dans le même temps, un doigt s’agite sur mon clitoris, ...
... un autre dans ma chatte. Je suis trempée, au bord de la jouissance, je n’en peux plus, il me faut une bite ! Je trémousse mes fesses pour faire comprendre mon envie, je m’ouvre encore plus, me cambrant au maximum.
— Ne t’impatiente pas ma chérie, tu vas être comblée ! me dit Jean.
Soudain, mon lécheur me lâche, j’entends un zip de bon augure, une bite mafflue s’approche de ma chatte, je sens la tête forcer mes lèvres vaginales. Mon Dieu c’est un monstre ! La bite m’envahit peu par peu, me coupant le souffle.
— Alors ma chérie, qu’est-ce que tu en penses ?
— C’est merveilleux, ma chatte est comblée, merci mon amour, pour m’avoir offert cette merveilleuse pine.
— Attends, tu vas en avoir une autre à sucer.
Jean s’écarta, laissant la place à un autre mec, en qui oh surprise je reconnais mon branleur du train. Celui-ci s’installe à la place de Jean et sort sa bite, de belle taille elle aussi, que je m’empresse d’engloutir.
La scène du train se reproduit, un devant un derrière, mais cette fois, j’ai deux belles bites à ma disposition. Mon baiseur a trouvé ses marques ; ma chatte s’est adaptée à cette bite hors norme ; je n’ai toujours pas vu celui qui me baise, mais il sait y faire. Il se retire presque complètement, puis m’empale d’un grand coup, à chaque fois, j’ai l’impression qu’il va me transpercer. Sa bite m’envahit la chatte, me faisant jouir en permanence. Devant, le mec du train se sert de ma bouche comme d’une chatte, il me tient par les joues et ...