L'éducation de Juliette (8)
Datte: 15/03/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: tarbenero, Source: Xstory
Ce dimanche d’été, le temps est splendide, Jean se sent d’humeur bucolique, il a prévu un pique-nique en forêt. Nous nous préparons tôt le matin. Comme à son habitude, il assiste à ma toilette, c’est son grand plaisir de voir mes mains pleines de savon (les gants de toilette sont formellement interdits) courir sur mon corps, caressant mes seins, ma chatte, mon cul, s’attardant sur les points sensibles. Au début de notre mariage, j’étais un peu gêné de devoir me laver devant mon époux, puis je m’y suis habituée, trouvant cela follement excitant. Je vais pour sortir de la douche, quand Jean intervint.
— Attends, chérie, ta toilette n’est pas terminée.
Il se saisit de mousse à raser et de son rasoir et entreprend d’enduire ma chatte. Il me veut lisse comme une fillette. La lame du rasoir parcourant mon pubis, puis ma chatte et ma rosette m’excite au plus haut point. Jean me rince, puis il me fait mettre à quatre pattes. Je me demande bien pourquoi, mais j’ai vite compris. Son but est de me nettoyer partout, donc... il me fait un lavement.
— Attends un peu avant d’aller te vider.
Pendant ce temps, lui-même se douche, il prépare également le pique-nique.
Jean aime que l’on m’admire, il veut que je fasse bander les mecs, aussi, chemisier transparent, sans soutien-gorge, largement déboutonné pour faire entrevoir mes seins, mini-jupe à boutons, également déboutonnée, pas de slip bien sûr, il fait chaud.
Comme à chaque fois que nous sortons, Jean se tient à ...
... distance, il marche derrière moi, regardant l’effet produit. Les mecs se retournent sur mon passage, me sifflent, j’ai honte, mais imperturbable, je poursuis mon chemin vers la gare. A chaque pas, ma mini s’écarte un peu, découvrant mes cuisses, mes hauts talons ; eh oui même pour un pique-nique, il faut que je mette mes hauts talons ; me font balancer l’arrière-train, mes tétons pointent à travers le chemisier, je sens l’envie de tous ces mecs et cela me fait mouiller. Nous arrivons à la gare, en ce beau dimanche ensoleillé, le train est bondé. Mon arrivée dans le compartiment ne passe pas inaperçue, c’est un de ces vieux wagons avec les marches très hautes, quand j’ai levé la jambe pour monter, ma jupe a glissé sur mes cuisses, découvrant ma chatte, sous les regards ébahis des voyageurs. Je suis debout, derrière moi un homme, devant, un autre.
Le grand nombre de voyageurs fait que nous sommes serrés les uns contre les autres, ce qui ne semble pas gêner ceux qui sont collés contre moi. Ils bandent tous les deux. Je sens une bite dure s’appuyer sur mes fesses, un autre sur mon pubis. Derrière moi, l’homme s’agite pour caler sa pine entre mes fesses, ses mains tentent de les écarter. Il sait que je suis à poil sous mes vêtements ; pour lui je suis une fille facile (il n’a pas tort) ; et il veut en profiter. Je regarde Jean affolée, il me sourit et met un doigt sur ses lèvres. Compris, mon seigneur et maître en a décidé ainsi, je dois me soumettre, j’écarte les jambes, mes deux « ...