L'éducation de Juliette (8)
Datte: 15/03/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: tarbenero, Source: Xstory
... colleurs » me regardent, surpris, je leur souris, encouragé, celui de devant passe sa main sous ma jupe, il empaume ma chatte, déjà tout humide.
— Salope, tu mouilles, t’aimes ça te faire tripoter en public.
Je lui souris en hochant la tête. Il me branle le clito, son autre main se glisse entre nos corps et remonte vers ma poitrine. Nous sommes tellement serrés qu’il a du mal à l’atteindre, mais cela a un avantage, les autres voyageurs ne peuvent pas voir, du moins je l’espère. Il a enfin atteint son but, il me triture un téton, son autre main s’active, il me pénètre d’un doigt, puis deux. Je me mords les lèvres pour ne pas crier mon bonheur. Pour lui faciliter la tâche, je déboutonne deux boutons de plus, ma jupe est ouverte presque jusqu’à la taille. Les doigts me branlent la chatte, je suis bien, à chaque nouvelle expérience imposée par mon amour, je me sens un peu plus salope, et j’aime ça. Derrière moi on s’impatiente, je me cambre pour appuyer mes fesses sur la bite de mon autre voisin, je passe ma main derrière mon dos pour tâter ce braquemart, oh quelle belle pièce, dommage que le pantalon le protège. Je soulève un peu ma jupe pour encourager ce monsieur qui a l’air bien timide.
Non, je me suis trompée, un doigt s’insinue dans ma raie culière, appui sur ma rosette, je me cambre un peu plus pour lui faciliter la pénétration. Il a un peu de mal, alors, son doigt va recueillir la mouille qui coule en abondance de ma chatte toujours pénétrée par mon voisin ...
... de devant. La cela va mieux. Un doigt, puis deux me perforent, me fouillent, me sodomisent. Je suis au septième ciel, mes voisins doivent être un peu frustrés, mais moi je jouis.
— Chérie on arrive.
C’est Jean qui me rappelle à l’ordre, nous allons arriver à destination. Mes deux « baiseurs » regardent ahuris mon époux qui leur fait un petit signe.
— Tu pourrais leur dire au revoir, me dit-il, alors que je roulais un patin à chacun des deux.
— Alors tu es contente de ton voyage.
— Oui mon chéri, mais je suis resté sur ma faim, et toi ?
— J’ai adoré te voir branlée, mais attends, la journée n’est pas finie, me dit-il d’un air mystérieux.
Jean avance dans le bois comme s’il recherche un endroit précis. Je traîne derrière, mes souliers à talons ne facilitant pas ma marche. Jean s’enfonce de plus en plus dans les bois. Profitant de cette solitude, je déboutonne complètement mon chemisier, laissant ma poitrine à l’air. J’aime de plus en plus me promener nue, m’exhiber.
Jean trouve enfin ce qu’il cherche. Une petite clairière entourée de buissons, bien à l’abri des regards, du moins je le croyais.
— Nous serons très bien ici ! dit-il.
Il déballe le pique-nique et une nappe qu’il étend par terre. Le repas fut merveilleux : champagne, foie gras, caviar, un repas digne d’un grand restaurant.
Après manger, Jean s’appuie contre un arbre, il me prend dans ses bras, me caresse les seins, la chatte. Mon désir était juste endormi ces simples caresses le ...