Promenons-nous dans les bois
Datte: 14/03/2022,
Catégories:
fh,
fhh,
fhhh,
hplusag,
candaul,
inconnu,
forêt,
jalousie,
dispute,
BDSM / Fétichisme
Oral
préservati,
pénétratio,
extraconj,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... vois rien. Il est vrai que la végétation est touffue et qu’il est facile de se cacher. Peut-être qu’il y a en effet un voyeur dans le coin. J’espère qu’ils ne seront pas plusieurs et qu’ils ne tenteront pas de violer ma femme !
Je repousse cette idée. N’empêche que je sens qu’on nous épie.
Entre-temps, ayant extirpé une couverture de son sac à dos qu’il vient de déposer sur le tronc d’arbre, Léopold fait asseoir ma femme dessus, lui demandant de bien écarter les jambes. Puis, sous les yeux ravis d’Isa, il commence un cunni, bien calé entre ses cuisses.
— Ah… Oh… Oooh
Il est flagrant que ma femme apprécie la langue de son aîné. Comme la dernière fois d’ailleurs, pardon, les dernières fois. Isabelle adore qu’on lui lèche le minou. Je la comprends, car pour ma part, j’adore qu’on me suce. Je suppose que cunnilinctus et fellation sont identiques quant au résultat.
Ma femme se débat sur place, se tortille, mais ne repousse pas pour autant la tête qui la torture. Elle serre les dents pour mieux se contenir, mais je sais qu’elle va bientôt lâcher.
— Aaah… AAAH !
Déjà ? La jouissance de ma femme explose, faisant vibrer son corps de la tête aux pieds. Tandis qu’elle pousse des tas de petits cris, Léopold continue sur sa lancée. Soudain, n’y tenant plus, Isabelle repousse sa tête. Il se laisse faire, donnant néanmoins quelques petits coups vicieux de langue pour entretenir l’excitation. J’adore contempler la jouissance de ma femme, même si je n’en suis pas à ...
... l’origine. Puis Léopold se relève, laissant ma femme avachie sur la serviette.
Un certain temps s’écoule, Isa réémerge lentement.
Moi, je reste persuadé qu’il y a quelqu’un dans les environs en train de nous épier. Mais je ne vois toujours rien. Peut-être que je me fais des idées. Léopold s’approche à nouveau de ma femme, verge bien en avant :
— À votre tour ! dit-il en mettant sa colonne de chair sous le nez d’Isabelle.
Sans se faire prier, elle avale aussitôt le long phallus, tout en massant les testicules pendouillants. Léopold soupire, s’extasie. On dirait que ma femme veut faire disparaître toute cette queue dans sa bouche. Elle va avoir du mal, car celle-ci n’est pas une mince affaire !
Tandis qu’elle s’escrime autour de la colonne de chair, je constate qu’il y a effectivement un voyeur qui contemple la scène. Il me fait un petit geste de la main, un pouce pointé vers le haut, signe qu’il apprécie ce qu’il voit. Mais ce n’est pas pour autant qu’il bouge de son emplacement.
Je me souviens alors que ce qu’on m’avait dit lors d’une soirée au Cercle. Il existe un code chez les vrais voyeurs, ils ne s’invitent pas au bal, sauf si on les convie, ils se contentent de regarder. Je pense que l’individu ici présent doit faire partie de cette catégorie.
Durant ce temps, Léopold s’est retiré de la bouche accueillante d’Isa, il est en train d’enfiler un préservatif. Il demande à ma femme de basculer un peu plus en arrière sur le tronc, jambes toujours écartées, puis ...