Promenons-nous dans les bois - Histoires de Sexe

Promenons-nous dans les bois

... sans préliminaire, il l’enfile avec aisance, faisant disparaître une bonne partie de sa longue queue dans une fente que je devine dégoulinante.

— Ooooh ! gémit ma femme durant la plongée du long engin en elle.

Un gémissement de plaisir, de satisfaction, d’attente comblée. Contrairement à ce qu’il se passait, il y a quelques mois, Isa accepte maintenant assez facilement d’autres verges, mais c’est la première fois qu’elle en accepte une en dehors des soirées. Mais comme il s’agit de celle de Léopold, je ne suis pas étonné. Je m’y attendais.

Tout en maniant son outil, Léopold demande :

— Ça vous plaît, ma petite Isabelle ?
— Oh oui ! C’est fou ! On dirait que vous êtes deux, que vous êtes plusieurs !
— Je ne pouvais rêver de meilleure répartie pour vous proposer de changer de niveau !

Soudain, Léopold se redresse et fait un grand geste en direction du voyeur qui s’approche de nous aussitôt. Je hausse des sourcils : je n’étais pas le seul à avoir remarqué sa présence ? Puis, je fronce des sourcils : à moins que ce soit Léopold qui l’ait invité !

À la grande stupéfaction d’Isa toujours besognée par son senior, le nouveau venu se plante à ses côtés, un large sourire aux lèvres. Avec un naturel désarmant, Léopold explique :

— Ma chère Isabelle, puisque vous me parliez d’être plusieurs, je vous présente Gustave, un de mes bons amis. Hélas pour lui, il est célibataire depuis bien longtemps, et comme vous aimez les hommes fort matures, je me suis permis cette ...

... petite surprise…

Assez surprise, toujours en train d’être ramonée par Léopold qui lui agrippe fermement les hanches, Isabelle répond mécaniquement :

— Euh… bonjour Gustave…
— Bonjour, Isabelle.

Un ange passe. Voyant que personne ne se décide à faire le second pas, Léopold reprend la main, désignant Isabelle et Gustave :

— Je vous propose de faire mieux connaissance, mais je vais vous faciliter la tâche. Gustave est un ami en qui j’ai toute confiance. De ce fait, il sera un bon élément pour aider Isabelle à franchir une nouvelle étape dans son cursus libertin.

Assez abasourdie, ma femme répond :

— Euh… si… si vous le dites…
— Bien sûr, je tiens à élaborer doucement votre éducation. Et comme vous êtes une élève très appliquée, vous allez vous donner à cœur joie dans ce cursus, n’est-ce pas ?
— Euh… oui…

Il se penche vers elle, tout en lui donnant de grands coups de mandrin, pour mieux la labourer :

— J’adore quand mes élèves sont appliquées. Et je suis généreux avec mes bons points…
— De quel genre, vos bons points ?
— Genre week-end, par exemple…

Aussitôt, il se tourne vers moi :

— Si vous êtes d’accord, bien sûr.

Voulant en savoir plus, je demande :

— Par week-end, vous entendez embarquer ma femme le vendredi soir ou le samedi matin, et me la ramener le dimanche soir ?
— Exactement. Et selon l’assiduité de notre élève, il pourra s’y passer bien des choses…

Je réfléchis quelques instants. Comment justifier l’absence de ma femme auprès ...