1. Promenons-nous dans les bois


    Datte: 14/03/2022, Catégories: fh, fhh, fhhh, hplusag, candaul, inconnu, forêt, jalousie, dispute, BDSM / Fétichisme Oral préservati, pénétratio, extraconj, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... pressant, les léchant, les suçotant, alternant douceur et douleur. Isa se pâme presque. Admiratif, Léopold s’exclame :
    
    — Quelle belle poitrine ! J’imagine bien tout ce que je puis faire avec…
    — Elle est à vous, Léopold…
    
    Il sourit cyniquement :
    
    — Chère Isabelle, il faut se méfier des paroles qu’on prononce un peu rapidement.
    — Euh… c’est-à-dire ?
    — Imaginez que je vous prenne au mot ? Que, pour commencer, je torture cruellement vos seins en les griffant, en les lacérant, en les transperçant. Puis que pour finir, je les embarque avec moi, après les avoir coupés…
    
    Isabelle frissonne :
    
    — Vous… vous n’oseriez pas…
    — Qui sait, mignonne petite Isabelle… qui sait…
    
    Il avait ceci d’un air calme et placide, tout en jouant avec ses tétons. Puis baissant la tête, il gobe un sein qui disparaît dans sa bouche. Poussant des petits gémissements, Isabelle apprécie cette torture sensuelle.
    
    — Oooh… ouh ! Hmmm !
    
    Comme les autres fois, je contemple un vétéran en train de jouer avec ma femme, tel un guitariste accompli qui extirpe des sons impossibles d’un instrument pourtant usuel, mon instrument à moi. Comment diable arrive-t-il si vite à ce genre de résultat ? Ça me rappelle Didier : donnez-lui un pinceau et n’importe quelle couleur ; en moins de cinq minutes, il vous réalise un portait ultra ressemblant en zébrant la toile. C’est presque de la magie !
    
    Toujours est-il que de voir ma femme se pâmer ainsi petit à petit me fait bander !
    
    Léopold décide de passer à ...
    ... la vitesse supérieure, il déboutonne complètement la robe qu’il me jette afin que je la garde. Il fait ensuite plusieurs fois le tour de ma femme pour mieux en contempler les paysages. Celle-ci reste bien droite pour mieux se faire admirer.
    
    — Vous êtes un joli petit lot, ma chère Isabelle…
    — Merci, Léopold. Puisque je suis un joli petit lot, je suppose que ce n’est plus la peine de me découper en morceaux ?
    — Pour l’instant, c’est certain… mais qui sait… On ne sait jamais ce que réserve l’avenir…
    
    Léopold refait un autre tour de ma femme, caressant distraitement ses seins puis ses fesses. Puis il s’arrête derrière elle. Il extirpe son sexe de son pantalon. Je suis toujours étonné qu’un homme de son âge ait un tel engin et qu’il soit en plus parfaitement opérationnel !
    
    Ayant écarté le tanga pour dégager l’entrefesse, impudiquement, il frotte sa verge dans le sillon, ses mains à nouveau sur les seins de ma femme. Béate, Isa se laisse faire. Me reviennent alors en mémoire ses grands discours d’antan sur le féminisme et l’oppression des hommes.
    
    — Écartez un peu vos jambes !
    — Tout de suite !
    
    Je comprends que la verge s’incruste mieux dans le sillon fessier sur toute sa longueur. Je me demande si Léopold va pénétrer ou non ma femme et surtout par quelle porte il va décider d’entrer. Je suis à peu près certain qu’Isa n’y verra aucune objection.
    
    C’est curieux, j’ai l’impression qu’on nous observe. J’ai beau regarder discrètement à droite ou à gauche, mais je ne ...
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