Promenons-nous dans les bois - Histoires de Sexe

Promenons-nous dans les bois

... qui s’enfonce dans le bois.

— Tu crois que Léopold va être là ?
— Je te signale que sa voiture était sur le parking.
— T’es sûr que c’est la sienne ?
— Une Citroën CX de ce vert-là, il ne doit pas y en avoir trente-six dans le secteur !
— Oh moi, tu sais, les voitures…

Tandis que nous nous approchons du lieu de rendez-vous, ma femme me dit :

— Tu sais quoi, mon chéri ? Je me sens vraiment très sexy dans ma robe et la lingerie que tu m’as achetées !
— Tant mieux, je suis content que tu saches me le dire. Tu es bandante, même si je ne t’ai pas vue en lingerie, mais rien que d’imaginer…

Elle glousse de plaisir. Elle se rapproche un peu plus de moi :

— Au fait… je vais jusqu’où avec Léopold ?
— Tu vas jusqu’où tu as envie d’aller…
— D’accord… Euh… reste dans les parages, je préfère…
— Je te rassure, il n’est pas question que je te laisse seule.

Assis sur une grosse souche, vêtu de noir, Léopold nous attend, un sac à ses pieds, ou plutôt à ses bottes. Il me donne l’impression d’être le seigneur du bois. Pour un peu, je chercherais le cheval sur lequel il est venu ! Le senior s’incline légèrement devant ma femme :

— Chère Isabelle, vous êtes toujours aussi ravissante !
— Vous êtes toujours aussi flatteur, Léopold ! Mais vous n’avez pas tout vu !

Joignant le geste à la parole, elle entrouvre son manteau. Léopold la contemple longuement avant de reprendre la parole :

— Chère Isabelle, vous êtes vraiment très ravissante !

Ravie de son petit ...

... effet, ma femme se contente de sourire. Je prends la parole :

— Bonjour, Léopold. Quoi de neuf ?
— Le Cercle va s’agrandir, mon cher Laurent. Gaétan, aidé par Markus, a recruté un nouveau couple. La présentation officielle sera faite lors de la prochaine soirée.

Amusée, ma femme intervient :

— Markus aurait-il utilisé sa force de persuasion ?

Il se met à rire :

— Une belle façon de le dire…
— Markus semble avoir la cote auprès d’une bonne partie de mes consœurs…
— Mais pas de vous, si j’ai bien compris.

Isabelle ôte complètement son manteau qu’elle dépose dans mes bras, puis elle dit avec une lueur dans les yeux :

— Vous savez très bien qui a la cote avec moi.

Avec un petit sourire, Léopold s’approche de ma femme. Du haut de sa grande taille, il la regarde de haut en bas. Isabelle frissonne. Puis il détache un à un les boutons de la robe. Il s’arrête au nombril, ayant dévoilé la poitrine :

— Magnifique ! Vos seins sont admirablement présentés en plateau.
— C’est mon mari qui m’a offert cela aujourd’hui…
— Très bonne initiative du mari !

Posément, Léopold capture les deux seins, en titille les tétons qui s’érigent. Puis de temps à autre, il les pince, alternant caresses légères et fines cruautés. On sent que cet homme a de l’expérience en la matière. Ma femme est carrément en train de fondre devant lui. Il lui demanderait de se jeter au canal qu’elle le ferait !

Il continue de jouer avec les seins et les tétons, massant les masses molles, les ...