L'étudiante sodomisée. (7)
Datte: 14/03/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... que je t’écrabouille !
— Mais...
— Mon poing dans la gueule, ça va te suffire à te faire fermer ton claque-merde, vieux con ?
Comme disait Audiard : "Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, ceux de soixante kilos les écoutent". Dont acte !
Le vieux battit en retraite en menaçant du doigt Issan et Léon, promettant que le concierge, le propriétaire et le syndic seraient prévenus et que, pour ce soir, il allait appeler la police. et qu’on verrait ce qu’on verrait, etc. Puis il disparut.
— On peut pisser où gamin ? demanda Helmut.
— Là !
On était quand même un peu emmerdés. Il faudrait aviser à se faire plus discrets, car, autant je me foutais du concierge, du syndic et du propriétaire, autant je craignais un peu les forces de l’ordre et, surtout, je redoutais tout ce que ce petit monde pourrait bien dire à mes paternels... qui pourraient fort bien être tentés alors de m’envoyer en exil dans un couvent de Pologne.
— T’inquiète pas ! me dit Helmut ! Si t’es à la porte, moi j’t’héberge. Ça f’ra un peu bisquer ma femme... mais si tes deux copains la ramonent un peu et que le plaisir se partage, on ...
... s’arrangera.
Il était tard, de toute façon, pour continuer nos ébats. Helmut sortit. Les garçons parlèrent un peu de la stratégie à adopter, et moi je filai sous la douche. Comme j’y étais quand on sonna à nouveau. Ah, non plus ce soir. Le cœur n’y était plus.
— Putain ! L’autre vieux con, il l’a fait ! C’est les keufs.
Très compréhensifs sur les impératifs de la jeunesse, les pandores nous invitèrent gentiment à contrôler le volume sonore de nos ébats (enfin surtout les miens) et, après quelques minutes de tractations, je réussis à les convaincre de me montrer comment s’y prendre. Ils payèrent de leur personne. Pendant que le plus âgé me donnait des coups de sa matraque à moustaches dans le fondement, son collègue jouait de son sifflet à roupettes jusqu’à toucher mes amygdales, me démontrant qu’il est très mal élevé de parler la bouche pleine, peu importe qu’elle soit remplie avec de la viande ou du liquide, lequel dégouline invariablement, quand on parle, sur le menton et jusqu’aux seins, même quand il ne s’agit que de dire merci. J’appris ainsi à jouir en sourdine et m’attachai la bienveillance des forces de l’ordre.
A suivre