L'étudiante sodomisée. (7)
Datte: 14/03/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... J’encaissais le choc avec un plaisir décuplé. C’était bon de se sentir ainsi possédée avec ardeur et de bien sentir la queue pulser en moi. J’étais en nage et je ne pus que jouir une deuxième fois, sans me contenir.
— Ah la petite cochonne, elle aime le sexe... Hein ! Coquine, t’aimes les hommes faits, d’la bonne grosse barbaque masculine. T’aimes ça la bonne grosse bite. J’vais te juter de sus salope, J’suis sûr que t’aimes le jus !
J’émis un grognement affirmatif et il s’extirpa lourdement d’entre mes jambes. Il vint se mettre à cheval sur moi, de façon à ce que sa verge domine mes seins.
— Y a des plombes que j’ai pas sauté une si belle nana... et si bonne ! Merci ma fille... tu peux tout me demander maintenant !
Au moment où il éjaculait en râlant bruyamment quelques pauvres gouttes de sperme, on sonna à la porte.
Encore un ! pensai-je ! Décidément, ils se sont passé un chronomètre pour prendre le relai au bon moment.
Issan ouvrit et entama aussitôt une discussion très animée avec un monsieur qui se présenta pour être le président des copropriétaires. Il se plaignit du tapage scandaleux que nous faisions à cette heure et qui importunait tous les honnêtes gens de l’immeuble. Issan essaya maladroitement de dire que cela ne venait pas de chez nous. Le mensonge ne prit pas.
Pendant cet échange de vues très animé, le patron de la pizzéria s’essuyait mollement la bite sur mes tétons, apparemment pas concerné par l’engueulade qui se développait dans le ...
... couloir.
J’entendis Léon sortit de sa chambre, à poil sûrement, compte tenu que le perturbateur lui demanda de cesser de s’exhiber et d’aller se rhabiller, ce qu’il ne fit d’ailleurs pas au motif qu’il était chez lui.
Comme les garçons tentaient toujours de mentir effrontément, la tenue d’Adam de Léon le démontrait, car "les gens normaux ne se promènent pas tout nus chez eux " d’après le gêneur, il pénétra plus avant dans l’appartement et je le vis apparaître dans l’entourage de la porte au moment où Helmut (c’était le nom du patron de la pizzéria) se remettait debout.
J’avais déjà vu ce septuagénaire chafouin dans les escaliers. Foncièrement antipathique !
— Ah... vous pouvez toujours mentir... Vous voyez bien que je ne suis pas fou... je vous prends en flagrant délit dans vos... dans vos... dans votre lupanar ! gronda-t-il, rouge de colère.
A ce moment, Helmut, toujours à poil, la queue rouge et demie molle, s’approcha de lui en bombant le torse.
— Alors pépère, sous prétexte de tapage nocturne, on rentre sans autorisation chez les gens, histoire de bien se rincer l’œil ! T’es content ? T’as vu la jolie jeune fille ? Ça te change de maman et de ses nibards plats comme des sacs à pains vides, hein vieux cochon ! T’aimerais être de la partie mon salaud !
— Mais... mais... qui êtes-vous Môssieur ? Je ne vous permets pas...
— Ta gueule ! Dégage ! Tu me déranges au moment où j’allais passer aux after avec la demoiselle ! Tu m’as coupé l’envie, tu mériterais ...