1. L'étudiante sodomisée. (7)


    Datte: 14/03/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    Comme s’il avait été chez lui, il fila tout droit dans le couloir et entra dans la piaule.
    
    A ce moment, je m’étais remise sur le dos, la nuque appuyée sur les oreillers, les jambes écartées et je reprenais mon souffle, ne me caressant doucement la raie.
    
    — Oh putain la belle meuf ! dit le patron.
    
    — Merci, répondis-je tout en continuant à me tripoter le frifri.
    
    — C’est ta meuf ? demanda-t-il à Issan, en déboutonnant sa chemise.
    
    — Non, ma colloque...
    
    — Putain de bordel de veinard ! T’arrête pas ma belle, t’arrête pas...
    
    Je poursuivis donc !
    
    — T’es canon, t’es canon, t’es un super petit lot. Tu me fais triquer comme jamais. Regarde !
    
    Et il sortit sa bite de son froc.
    
    L’homme était très grand, pas moins de deux mètres, et très gros. Son ventre rond et ferme, ses pectoraux puissants et gras, son torse, ses jambes et ses bras couverts de gros poils noirs, de même, je le vis après, que son dos et ses fesses, lui donnaient une sorte de virilité bestiale. Cela me faisait l’impression que j’allais me faire saillir par un ours.
    
    Sa queue, grosse et droite émergeait d’une broussaille fournie. Ses balloches pendaient, deux belles grosses boules dans leur sac.
    
    Il s’allongea immédiatement pour me bouffer la raie. C’était décidément une habitude dans cette boîte ! Patron et employées, même combat ! Il y mit d’emblée beaucoup de fougue. Sa langue était grosse, longue, épaisse, extraordinairement mobile. Jamais on ne m’avait encore lessivé l’intérieur comme ...
    ... cela, même le livreur qui venait de partir et qui, pourtant, ne m’avait pas laissée indifférente, n’était pas de cette force-là.
    
    Tout en me récurant le vagin, le mec me broyait les seins avec ses énormes paluches et il soufflait comme un bœuf par les naseaux.
    
    Mon chevalier servant n’était certes pas un Adonis, au contraire, mais vraiment aucun mec ne m’avait fait ce truc-là avant. Et à comparer avec ce que je venais juste de vivre et qui m’avait pourtant formidablement plu, je le répète, il y avait la même différence qu’entre un feu d’artifice de chef-lieu de canton de la Creuse et celui de la tour Eiffel un soir de 14 juillet. Je découvrais, émerveillée que la langue pouvait faire largement autant de bien que la queue, sinon plus. Je me promis de nouer des contacts suivis avec ce gros porc qui jouait si bien de sa bouche. J’étais trempée sans bien savoir si c’était plus de mon fait que de celui de l’homme qui bavait comme un chien de Pavlov. On m’entendit crier dans tout l’immeuble.
    
    Il ne chercha d’ailleurs pas à se satisfaire uniquement de cette inspection vaginale, mais, me soulevant le cul, il voulut aussi me forcer l’anus de la même façon. C’était bon, moins orgasmique cependant, et je pus reprendre un peu mon souffle. Pour un peu, il m’aurait sodomisée avec la langue si elle avait été plus longue.
    
    Quand il se fut rassasié, il s’allongea sur moi en missionnaire et commença à me besogner. Il m’écrasait et s’agitait comme un forcené en gueulant des insanités. ...
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