Histoires de famille - Le Commencement. (2) - Histoires de Sexe

Histoires de famille - Le Commencement. (2)

... Regarde comme mon pieu déforme bien ta joue. Putain... Ça c’est vraiment le pied.

Je fais aller et venir lentement ma bite afin qu’elle voie bien mon gland déformer sa joue quand il vient appuyer à l’intérieur.

Je lui tire son chignon vers le haut afin qu’elle se redresse sur ses genoux.

On entend seulement le bruit de nos respirations et de ses déglultissements quand elle avale sa salive pour ne pas baver.

— Tu t’es déjà vu en train de te faire baiser ?

Elle émet un bruit bizarre avec sa bouche en secouant négativement sa tête.

— Je suis certain que tu vas adorer ça alors. Tu as toujours envie que je te baise ?

Ayant toujours ma queue en bouche, elle hoche vigoureusement de la tête en lâchant un petit gémissement.

— Mets-toi à quatre pattes face au miroir. Allez...

Sans dire un seul mot, elle se positionne le visage devant le miroir. Les bras tendus, elle pose ses deux mains au sol pour prendre appui. Elle garde la tête baissée, le menton sur sa poitrine.

— Redresse la tête bon sang et regarde-moi dans le miroir. Je vais pas le dire dix mille fois.

Elle relève son visage et me regarde dans le miroir.

Je vois de l’excitation dans ses yeux, voire même de l’impatience d’être prise.

Je prends ma bite en main et me branle lentement en me plaçant derrière elle.

— Ecarte plus tes genoux. Cambre-toi plus. N’hésite pas ma belle. Tu es là pour te faire baiser, pour t’offrir au mâle. Alors, montre-moi ce que tu as à m’offrir. Tu es la femme, ...

... la femelle. Tu dois aussi exciter le mâle, lui donner encore plus envie de te baiser. Alors, sois salope dans tes attitudes, tes positions. Fais-moi comprendre que tu crèves d’envie de sentir mon pieu s’enfoncer en toi.

Dans le miroir, je vois son regard se poser sur ma queue que je branle lentement.

Elle rectifie sa position. Elle écarte bien ses genoux en resserrant ses pieds l’un vers l’autre. Elle accentue la cambrure de son dos en le creusant bien. Sa jupe en cuir est toujours enroulée autour de sa taille.

Dans cette position, je vois bien ses omoplates se dessiner sous sa peau ainsi que sa colonne vertébrale.

Mes yeux descendent plus bas sur ce petit cul hyper-cambré dont les fesses pleines sont écartées naturellement.

Je découvre une raie fessière blanche avec un anus à la chair rosâtre légèrement froncé et juste en dessous la vulve aux lèvres rebondies légèrement entrouvertes sur l’entrée du vagin.

— Magnifique, dis-je dans un souffle. Tout simplement magnifique.

Très excité, je viens m’agenouiller sur sa droite à hauteur de ses fesses pour voir d’encore plus près cette croupe offerte.

Ma main caresse son dos creusé tout le long de sa colonne vertébrale jusqu’au début de sa raie, puis je caresse chaque fesse avec douceur en faisant tourner mes mains dessus et en les écartant un peu plus.

Les chairs de sa rondelle se tendent, mais l’anus reste bien fermé, par contre les lèvres de sa vulve s’entrouvrent et je découvre l’entrée de son vagin tout ...