Histoires de famille - Le Commencement. (2) - Histoires de Sexe

Histoires de famille - Le Commencement. (2)

... mon index mouillé à ma bouche.

— Humm... Un vrai nectar ta cyprine ma belle.

Elle me fixe toujours dans le miroir. Ses yeux sont mouillés d’excitation.

Je porte à nouveau mon index entre ses cuisses que j’humidifie à nouveau de sa cyprine puis viens récolter du sperme qui coule sur sa joue gauche et que je ramène vers sa bouche qu’elle ouvre d’elle-même.

— Vas-y ma belle. Régale-toi. Un cocktail de ta cyprine et de mon sperme.

Elle gémit en fermant ses yeux et en ventousant ses petites lèvres autour de mon index qu’elle se met à sucer lentement.

— Ouvre tes yeux ma belle salope. Profite visuellement du spectacle aussi. Regarde-toi, admire-toi en tant que salope.

Elle ouvre les yeux et se regarde aspirer mon index que je fais aller et venir entre ses lèvres.

Puis toujours en tenant son chignon sous ma main gauche, j’appuie sur sa tête pour la faire agenouiller de trois quarts devant le miroir.

Je prends ma queue épaisse et lourde dans ma main droite et viens la passer lentement, mais fermement sur son visage.

— Regarde comme t’es belle et bandante avec une grosse bite sur ton joli visage de salope. Y a rien de plus beau qu’un joli visage de salope recouvert de sperme avec une bite qui le caresse. J’ai pas raison, dis-je dans un souffle rauque. Tu te trouves pas bandante comme ça ?

— Si. C’est excitant à voir et à sentir aussi.

— Tu le savais pas, mais tu vois que t’es une bonne pute à sperme à 40 ans.

— C’est vrai oui. Je pensais pas ...

... aimer ça, bredouille-t-elle. Humm... ! Prends-moi... Prends-moi s‘te plaît.

— Chutt... ! Ça va venir ma belle... Ça va venir. Je vais bien t’enfiler jusqu’aux couilles. Je vais bien te faire couiner, t’en fais pas.

Je redresse ma queue et commence à me branler tout en approchant son visage de mes couilles et je plaque sa bouche dessus.

Je tiens fermement son chignon et frotte son visage sur mes couilles.

— Humm... Ouais... Comme ça... C’est bon aussi.

Puis je baisse ma queue à l’horizontale et lui enfonce mon gland épais dans sa petite bouche.

Elle ferme les yeux et commence à gémir pendant qu’avec ma main gauche je fais aller et venir sa tête le long de ma queue.

— Ouvre les yeux bon sang. Une pute ouvre toujours les yeux quand on lui baise la bouche.

Elle me regarde en clignant des yeux et tente d’ouvrir le plus possible ses mâchoires pour ne pas me mordre avec ses dents.

Aucune réaction quant à mes insultes. Elles les acceptent sans sourciller. Je crois que ma copine Isa avait raison. Cette femme est faite pour moi.

En se concentrant, elle arrive à me prendre presque jusqu’à la moitié de ma hampe épaisse et veinée.

— Regarde-toi, dis-je en lui faisant tourner sa tête pour qu’elle puisse se voir dans le miroir.

Son visage fait face au miroir et de ce fait ma queue sort presque de sa bouche. Seul mon gland est dedans et vient buter sur sa joue gauche en la déformant.

— Regarde comme t’es belle quand tu te fais baiser ta petite bouche. ...