Histoires de famille - Le Commencement. (2) - Histoires de Sexe

Histoires de famille - Le Commencement. (2)

Debout face au miroir, elle se tient bien droite, ses petits seins aux tétons érigés montent et descendent au rythme de sa respiration.

Naturellement cambrée sur ses hauts talons, elle appuie ses fesses contre moi.

Je relève plus haut sa jupe en cuir sur sa taille et glisse ma main droite devant sur son mont-De-Vénus et viens lui caresser doucement son petit triangle de poils courts et doux.

— Caresse tes seins, lui dis-je dans un souffle. Et ouvre-toi. Tu es une femme. Ouvre tes cuisses ma belle.

Sa respiration s’accélère quand elle porte ses deux mains à ses seins qu’elle se met à malaxer doucement tout en pinçant ses tétons gonflés de désir.

Dans le même temps, elle écarte ses pieds pour s’ouvrir comme je le lui demande.

— Regarde comme t’es belle, lui dis-je encore à l’oreille. Avec mon sperme sur ton visage de petite salope. Un sperme épais. Bien odorant. Tu aimes ça en plus. Tu te sens femme là... femelle... Tu es une bonne salope. Ça t’excite.

Je m’écarte légèrement d’elle sur sa droite pour glisser ma main droite le long de sa fente vulvaire bouillante et ma main gauche entre ses fesses.

Les doigts de ma main gauche viennent caresser son anus puis descendent jusqu’à son vagin pendant que ceux de ma droite entrouvrent ses lèvres brûlantes et glissent jusqu’à rejoindre les doigts de la main gauche à l’entrée de son vagin.

Puis, je les fais remonter de chaque côté pour venir effleurer son anus et son clitoris en même temps.

— Tu crèves ...

... d’envie de te faire baiser là... Tu es impatiente de sentir ma queue s’enfoncer en toi. Te pénétrer profondément. Tu es impatiente de te sentir femme... femelle... salope...

Regarde comme tu es sexy... bandante... Femme... Femelle... Salope... Chienne... Putain... !

Je viens prendre son menton recouvert de sperme qui sèche lentement dans ma main droite et face au miroir, je lui fais tourner la tête lentement de gauche à droite pour lui montrer son visage souillé.

J’approche ma bouche de son oreille droite que je viens mordiller et lécher lentement.

Ma langue épaisse la lèche, vient s’enfoncer dedans. J’arrive à la prendre entièrement dans ma bouche.

Elle est prise de longs frissons et m’offre encore plus son cou en penchant sa tête sur sa gauche en gémissant.

— Tu es une excellente femelle depuis le début de la soirée. Tu me fais bander comme un âne. J’aime avoir une femme comme toi. Une femme salope, chienne. Une bonne « pute » à ma disposition.

J’utilise sciemment le mot « pute » pour la première fois. Elle a accepté sans rien dire mes autres insultes. Peut-être va-t-elle réagir à celle-ci et ne pas l’accepter.

Elle ne réagit pas. Elle ne dit rien et continue à offrir son oreille, son cou à ma bouche vorace tout en continuant de se malaxer les seins.

Je glisse à nouveau mes doigts entre ses cuisses et viens récolter un peu de cyprine entre ses lèvres.

Je pose ma main gauche sur le dessus de sa tête pour prendre son petit chignon en main.

Je porte ...