Histoires de famille - Le Commencement. (3) - Histoires de Sexe

Histoires de famille - Le Commencement. (3)

... ouverte.

— Oui... souffle-t-elle. Oui je vois.

— Tu comprends pourquoi ma queue adore s’enfoncer dedans ? Ouvrir ses chairs douces et brûlantes ?

Elle hoche la tête tout en gardant les yeux rivés sur sa vulve ouverte, exposée.

— Tu t’étais jamais vue ouverte comme ça, je parie ?

— Non... Jamais... C’est... C’est la première fois.

— Ca t’excite ?

— Oui... oui... oui... gémit-elle en hochant rapidement sa tête. Prends-la... ! Prends-la... !

— Tss... tss... tss... Tu plaisantes ma belle non ? C’est une œuvre d’art ça. Cela se déguste d’abord avec les yeux et la bouche.

Je me penche et viens déposer des petits baisers tout autour de son anus qui se met à « frémir » tout seul.

Il se met à « vivre » comme s’il voulait s’ouvrir comme une corolle.

— Hé ben dis donc. Il a l’air d’aimer ça, dis-je en souriant.

— Salut toi, dis-je en fixant son anus au plus près. Je vais bientôt venir te visiter, tu sais. Mais avant, je vais te déguster comme tu le mérites.

J’humidifie le bout de mon index à l’entrée du vagin luisant de cyprine et je viens titiller toujours avec le bout de ce doigt et très légèrement le milieu de cette rondelle.

Au contact de mon doigt, l’anus réagit en se contractant comme s’il voulait l’ »avaler ».

— Excellent ça... Excellent, dis-je en constatant cette réaction. Tu as l’air d’être pressé d’être « visité » dis donc.

Comme un chat le ferait avec du lait, je viens laper à plusieurs reprises avec le bout de ma langue ce ...

... petit anus. Je caresse avec ma langue épaisse seulement l’anus. L’odeur de cyprine me monte au nez.

Au contact de ma langue, elle gémit légèrement et je sens une contraction du bassin.

Avec mes deux mains, j’écarte encore plus ses fesses pour entrouvrir les chairs et j’insère de quelques millimètres le bout de ma langue que je fais tourner doucement.

De suite, l’anneau entrouvert se resserre comme s’il voulait coincer le bout de ma langue.

— Ohh... Mon Dieu... C’est bon ça, souffle-t-elle en fixant avec des yeux excités mon visage.

Je sens son anus palpiter sous ma langue.

Je l’enlève et m’amuse à nouveau à embrasser légèrement l’orifice palpitant.

— Tu as l’air d’être très sensible de l’anus aussi. Tes nerfs sont hyper-réceptifs dis donc.

— Allez... A mon tour de me régaler.

Je pose mes mains sous la pliure de ses genoux et tel un « mort de faim », je me jette sur son entrecuisses.

En ouvrant en très grand ma bouche, j’arrive à couvrir entièrement son anus et sa chatte.

Je plaque littéralement mes lèvres dessus et je me mets à la lécher, l’aspirer, la brouter avec voracité.

Je m’occupe en même temps du clitoris, du vagin et de l’anus.

Ma salive se mélange à sa cyprine. Je grogne fort en la dévorant.

Je ne vois pas son visage, mais elle pousse des râles de plus en plus longs.

Son bassin est pris de tremblements. Je sens son anus et sa chatte qui vivent, palpitent dans ma bouche.

Avec mes deux mains, j’écarte encore plus tout ...