Potins et popotins
Datte: 07/03/2022,
Catégories:
fh,
hplusag,
médical,
Collègues / Travail
fsoumise,
hdomine,
BDSM / Fétichisme
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
jeu,
sm,
fouetfesse,
fsoumisah,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... sujet, ce qui ne sera pas un mal. Je suppose que vous souhaitez que j’en touche un mot à madame Skodanov ?
— Depuis qu’elle est votre assistante, ça devrait faciliter les choses.
Il se penche sur moi et demande :
— D’ailleurs, pourquoi est-elle devenue votre assistante ? Elle n’avait pas besoin de travailler. Elle a déjà la confortable pension de son défunt mari, sans oublier l’argent que lui rapportera la vente de la maison et de l’entreprise.
— Que la vente de la maison, car l’entreprise a été reprise en main par les deux enfants du défunt. Monsieur Skodanov en était à son second mariage. Quant à la maison, la somme sera divisée en trois : une part pour chacun des deux enfants nés du premier lit et la troisième pour la veuve.
Je vois que je lui apprends quelque chose. Il continue son argumentation :
— Ah ! J’ignorais que Damien avait des grands enfants issus d’un premier mariage. Sa veuve aurait pu s’arranger autrement… Par exemple, laisser l’entreprise aux enfants et garder la maison.
— Madame Skodanov reste actionnaire dans l’entreprise… c’est son choix.
— Enfin, même avec un tiers du prix de vente de la maison, et avec leurs comptes en banque, elle pourrait arrêter de travailler jusqu’à sa retraite, non ?
— Peut-être, mais pour l’instant, elle souhaite rester mon assistante, ça lui change les idées, c’est ce qu’elle dit…
Mon interlocuteur me fixe, une lueur égrillarde dans l’œil :
— Et les vôtres aussi, Docteur !
— Précisez votre pensée…
— On ...
... raconte que notre récente veuve s’est très vite consolée…
— On raconte bien des choses…
Je me lève, signifiant par-là que la consultation est finie. Après avoir rédigé une ordonnance, je raccompagne mon visiteur :
— Je vais lui parler de votre proposition, je pense pouvoir vous dire quoi d’ici peu de temps.
— Merci, Docteur… au fait… vous serez toujours là quand nous aurons besoin de vous nocturnement ?
— Il me semble avoir été là pour vous, il n’y a pas si longtemps que ça. Ou plutôt pour cette femme trop bien attachée…
— C’est vrai…
— Et merci d’avoir eu le courage de me téléphoner ce fameux samedi soir…
— C’est le moins que je pouvais faire, Docteur.
Je tapote l’épaule de mon visiteur :
— En tout cas, félicitations, Georges ! Car depuis que vous vous occupez de ces soirées, je ne suis plus dérangé le samedi soir !
— Je ne tiens pas à ce que ça dégénère… Quand vous joindrez-vous à nous, Docteur ?
— Je ne sais pas… J’ai eu mon temps…
Puis Georges Bourseul s’en va, tandis qu’un autre patient prend sa place. Une bonne vingtaine de personnes défilent ensuite en consultation libre dans mon cabinet, étant encore l’un des rares à en faire dans le canton. Parfois, entre deux clients, ma sensuelle assistante me fait oublier la fatigue à sa façon. Souvent, elle m’offre ses lèvres, parfois plus coquine, elle révèle un sein que je gobe aussitôt, et de temps à autre, elle soulève sa blouse blanche pour dévoiler un cul parfait tout aussi blanc que je baise et que je ...