Potins et popotins - Histoires de Sexe

Potins et popotins

... coude, pour me dire, les yeux dans les yeux :

— C’est vous que j’aurais dû rencontrer à la place de ce taré de Damien…

Et quelque chose dans son expression me dit qu’elle ne ment pas.

Bien sûr, cet égarement ne fut pas sans conséquence. Clémentine a plus ou moins exigé (à mots couverts) que je recommence mon traitement très particulier. Je constate que ma patiente a royalement zappé son défunt mari alors qu’il n’est même pas sous terre. Quelque part, je la comprends, mais elle va quand même vite en besogne !

Alors que je viens de finir une nouvelle petite séance thérapeutique avec elle, je décide d’aborder un sujet sérieux :

— Je ne comprends pas, Clémentine, vous avez la possibilité de sortir de votre condition de soumise et vous souhaitez rempiler avec moi.

Elle s’étire, se remettant du plaisir que je viens de lui donner :

— Parce que j’aime ça, c’est aussi simple que ça. Mais Damien s’y prenait mal. Par contre, avec vous, c’est différent.
— Et pourquoi ? Et comment ?
— Comment dire ça… j’ai confiance en vous, Alexis. Nous en avons déjà parlé…
— Peut-être avez-vous tort…

Allongée sur le ventre, elle rit franchement :

— Même votre réponse faussement cynique me plaît !
— Vous n’êtes pas difficile…
— Il faut croire que non, surtout avec mon ex… Justement, pendant qu’on y est, parlons-en justement.
— Je vous écoute.

Machinalement, je caresse son dos, puis ses fesses, ce qui la fait sourire :

— Je prends un exemple. Si nous choisissons le ...

... scénario que je sois une pute à routiers, eh bien, Damien m’aurait parachutée dans un parking sombre et lugubre et aurait accepté tous les quidams qui passaient par là, sans distinction, propres ou crades. Tandis qu’avec vous, ce serait vraiment scénarisé, avec des routiers que vous auriez soigneusement sélectionnés pour moi. Je me trompe ?

Je ne peux qu’acquiescer :

— Non, vous ne vous trompez pas, Clémentine. Je déteste jouer avec la santé des gens et surtout celle des femmes qui me plaisent.
— Ah ? Je vous plais donc ? Ou c’est plutôt mon cul qui vous plaît ?
— Le tout me plaît. Et si vous voulez tout savoir, j’aime aussi vos seins en forme de poire, ils doivent être délicieux à croquer.

Clémentine devient très coquine :

— Ah oui ? Vous voulez goûter ?
— Je ne voudrais pas abuser…
— Ah oui ? Vous venez d’abuser de mon cul, et vous ne voulez pas abuser de mes seins ?
— Vu comme ça…

Ma patiente se redresse, se mettant debout devant moi. Sans aucun complexe, elle me dévoile sa poitrine, puis s’approchant de moi, soutenant ses seins avec ses mains, elle me propose :

— Allez-y, goûtez !

Pour une fois, je ne me fais pas prier. Aussitôt, je pose mes lèvres autour de son téton, bien décidé à y goûter cette petite framboise qui me nargue. Une fois en bouche son délicat petit fruit, il ne faut pas longtemps pour que je me laisse glisser dans le stupre et la débauche !

Durant de longues minutes, je suis en train de carrément dévorer, bouffer, engloutir les ...