Potins et popotins - Histoires de Sexe

Potins et popotins

... bien exigeante pour une éventuelle soumise !
— Osez me dire que ça ne vous tente pas…
— Ôtons d’abord votre attirail ! Allongez-vous sur la table d’examen, jambes écartées, le temps que j’aille chercher ce qu’il faut pour couper tout ça.

Quelques minutes plus tard, le vagin de Clémentine est enfin libéré. Je reconnais que j’ai eu quelques difficultés, non pas à cause des chaînes et des cadenas, mais à cause de cette délicieuse fente que j’avais en gros plan ! J’ôterai quelques anneaux plus tard, le temps de vérifier quelques points de détail concernant la cicatrisation.

Tandis que je range mes outils, Clémentine s’assied sur le rebord :

— C’est vrai que c’est déjà mieux comme ça. Cependant, je suis déçue !
— Pourquoi êtes-vous déçue ?
— J’aurais cru que vous auriez au moins effleuré ma chattounette…

Je ne vais quand même pas lui avouer que ce n’est pas l’envie qui m’en a manqué ! Je la gronde :

— Vous êtes infernale ! On vous donne un doigt, vous réclamez le bras !

Avec un sourire vicieux, elle rétorque :

— Eh bien, cher Docteur, même le doigt, je n’y ai pas eu droit !
— Au lieu de dire des bêtises, écartez un peu vos cuisses que je vérifie si tout est OK. Je m’occuperai de vos anneaux plus tard.

Un peu boudeuse, elle s’exécute. J’examine, je vérifie :

— Hmm-hmm… tout est OK…

Puis avant de me redresser, je m’offre le luxe de poser délicatement et furtivement un léger baiser sur le haut de sa fente odorante. Quand je la regarde, je constate ...

... que son visage est éclairé par un sourire radieux ! Elle me lance :

— Vous voyez que vous pouvez, Docteur !
— Docteur ou Alexis ?
— Hmm… ça reste quand même du Docteur…
— Restons donc en mode Docteur. Dans ce cas, faisons un essai, Clémentine. Mettez-vous debout puis allongez-vous sur le lit, comme vous le faites depuis que vous êtes ici.
— Pour que mes fesses soient bien en évidence ?
— Il y a de ça…

Avec un petit sourire, elle s’installe sur le lit comme je le lui ai demandé. Décidément, Clémentine possède un splendide popotin, de quoi donner des idées étranges ou tordues à des hommes plus ou moins instables, les autres se contentant d’admirer cette œuvre d’art.

Pour commencer, je palpe délicatement ses fesses offertes pour vérifier si tout est OK :

— Vous sentez quelque chose ?
— Il faut que je vous avoue que ça fait quelques jours que ça va mieux, déjà depuis lundi soir. C’était impressionnant, mais finalement bénin. Vous savez, mon mari a fait pire avec moi.
— Comment ça, ça va mieux depuis lundi soir ?
— Euh… il me fallait un prétexte pour me balader cul nu devant vous…
— Eh bien, c’est réussi ! Vous mériteriez une fessée, mais je préfère éviter !
— Dommage, Docteur…

Dommage ? Ça dépend pour qui ! Je m’offre le luxe de caresser les deux demi-sphères. C’est très doux et voluptueux. Il devrait être interdit d’avoir un cul pareil ! Pour ma part, c’est un sacrilège de frapper dessus comme un dératé. Le claquer un peu pour le faire vibrer, ça oui, ...