La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1544)
Datte: 06/03/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... je ressentais me procurait de l'excitation, je bandais dans ma cage de chasteté comprimant ma nouille. Ils se mettaient de nouveau à rire, quand on fit remarquer que, comme j'avais un plug dans le cul, je n’étais plus un homme mais une salope de chienne en chaleur. Puis un des deux hommes plutôt élancé sortit sa bite et me l'enfonça sans un mot au fond de la gorge... L'humiliation me donnait encore une érection mentale plus forte, quand un autre secouait ma cage comme un grelot et se moquait de moi. Un des hommes trapus, me fit mettre à quatre pattes, et alors que je suçais toujours son acolyte une fois mis en cette position, j’avais ainsi les fesses bien offertes à la vue de tout le monde et mon érection comprimée devint de plus en plus forte, j’en jouissais mentalement tellement j’étais humilié…
Celui que je suçais se mettait déjà à éjaculer dans ma bouche, tout en me tenant fermement par les oreilles. Puis, sans attendre, un autre prenait sa place et j’étais donc avec de nouveau une bite dans ma cavité buccale. Ensuite, je sentais qu’on m’enlevait le volumineux plug pour le remplacer sans ménagement par un véritable sexe épais dans mon anus dilaté à souhait ! Je me retrouvais à quatre pattes dans les vignes avec cinq hommes, enchaînant les pipes pendant qu’on m’enchaînait les sodomies profondes à grands coups de bite aussi bien dans ma bouche que dans mon cul. On m’enculait sans vergogne à se vider les couilles chacun à leur tour, et avec la dose de sperme qui sortait ...
... de mon anus béant, ça rentrait tout seul pour ceux qui passaient en dernier. Je suçais en bouche ensuite leur bite semi-molle pour les nettoyer de leur éjaculation en mon cul, pendant que j'en avais une autre dans le trou du cul. Tous ces hommes se vidaient en moi, un part un. Durant plus d'une demi-heure je me faisais baiser la bouche et l'anus. J'avais du avalé du sperme et j’avais le cul en feu, ça dégoulinait de mes fesses... Je n’étais plus qu’un vide-couilles, qu’un simple objet sexuel utilisé pour soulager ces cinq hommes en rut… Quand tous étaient vidés, celui qui m’avait imposé de porter le string me lança :
- Je vais y dire, à Monsieur le Marquis, que tu es une bonne petite pute… C’est bien, t’es une bonne lopette !
Puis, les cinq hommes rustres me laissaient ainsi, seul, s’en retournant sans un regard, tout en réajustant leur bermuda. Il m’avait fallu dix bonnes minutes pour me ressaisir, pour me mettre d’aplomb. Je m’étais essuyé du sperme dégoulinant encore du cul, tant bien que mal avec le string que j’enlevais ainsi qu’avec des feuilles de vigne pour ne pas tacher mes vêtements. Alors que je regagnais la bastide, je croisais Charles sur le chemin. « Mince, un peu plus et il m’aurait surpris en train de me faire enculer » m’étais-je dit en le voyant venir. Je devais faire pâle figure.
- Eh bien Monsieur Alexandre, vous ici !
- Bonjour Charles.
- Il y a quelque chose qui ne va pas Monsieur Alexandre ? Vous êtes blanc comme un cachet d’aspirine, si ...