La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1544)
Datte: 06/03/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1543) -
Chapitre 15 : De bien rustres personnages -
De ce pas, j’allais sur LinkedIn, mettre en ligne mon curriculum vitae... Le lendemain matin, je m’étais levé tôt, et prenais mon petit déjeuner seul dehors, sur la terrasse ensoleillée, près de la piscine, assis sur un transat, je feuilletais un magazine tout en sirotant mon expresso. J’appréciais le calme, les odeurs de café, de foins coupés, j’écoutais le rossignol chanter et je savourais à pleins poumons cet environnement rural ! J’étais bien, l’esprit reposé, détendu. Juste de petites douleurs en périphérie de mon anus, lorsque je le contractais. Je me questionnais également : Comment avais-je pu vivre en ville ? Comment avais-je pu accepter ces bruits urbains ininterrompus, ces coups de klaxon, cette pollution, ce stress permanent ?... Alors que là dans la campagne, je me ressourçais, je me sentais en harmonie avec cette nature apaisante, bienfaitrice…
Bien sûr mes pensées partaient aussi dix kilomètres plus loin, vers ce lieu de soumission, de débauche et de luxure, au magnifique Château d’Evans… Je repensais à l’incroyable lieu historique qu’il était, peut-être peu connu des historiens eux-mêmes, à savoir que le fameux Marquis de Sade en personne y avait séjourné si souvent ! (NDLA : lire les Origines de la Saga) Et puis je rêvais aussi, m’interrogeais : Monsieur le Marquis était-il réveillé ? Je ...
... l’imaginais allongé, les yeux fermés dans la pénombre, nu, la queue raide, dure, tendue avec une ou un esclave à Ses côtés. Se laissait-il goûter, respirer, humer, lécher délicatement ? Se laissait-il gober, téter doucement ? Laissait-il enrouler une langue soumise autour de Son sublime gland ? Laissait-il Sa queue s’enfoncer dans une bouche servile, lentement mais inexorablement, jusqu’à ce que ces lèvres domptées touchent Son ventre ?… « Tu as gagné mon pauvre alex, quel imbécile tu es ! », me disais-je en sentant ma nouille s’enorgueillir dans cet étui métallique, soudainement trop étroit. Impossible pourtant de chasser de mon esprit ces images perverses et diaboliques qui me mettaient en feu, enviant trop ce viscéral besoin d’être cette bouche servile, enviant d’être aux côtés du Maître… Je décidais alors de marcher, de regagner les vignes, après tout, une promenade matinale ne peut que générer un bon début de journée !… Les grains de raisins murissaient vite et bien, la récolte approchait avec un temps d’avance par rapport aux années précédentes. « A ce rythme, avec ces changements climatiques, nous allons pouvoir vendanger deuxième quinzaine d’août », pensais-je tout en gouttant un grain pas très mur encore, mais très sucré… C’est alors que j’entendais quelqu’un me héler d’une drôle de manière.
- Eh le petit enculé… Oui, c’est à toi, à la lopette que je parle !… Charles n’est pas là, y parait qu’il souhaite me voir !
Je me retournais et reconnaissais immédiatement ...