La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1544)
Datte: 06/03/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... le rustre et grossier Marcel… Lui aussi faisait le tour des vignes de Monsieur le Marquis, dans une tenue peu orthodoxe… Il était là, torse nu, dans une cote de travail à bretelles, bite à l’air et en main. Il se paluchait allègrement, sans scrupule, sans se soucier d’éventuels regards.
- Non Monsieur, je ne l’ai pas vu encore aujourd’hui.
- Dis-y que si y veux me voir, je serai là demain matin à 9 heures pétantes.
- Bien Monsieur, je lui dirai !, lui répondais-je en m’éloignant.
- Eh le petit chien, approche-toi un peu, ne fait pas l’effaroucher, tu as déjà gouté à ma queue, non ? Alors viens me la sucer si tu ne veux pas être enculé à sec ?
Ce rustre sauvage, avant même que je puisse m’enfuir, m’attrapait déjà fermement par un bras, le tenait implacablement dans mon dos. De son autre main, il baissait si rapidement mon short et mon slip à mi-cuisses que je n’avais même pas eu le temps de réagir. Puis il pointait déjà sa bite raide contre ma rondelle. Quelle honte ! A moitié à poil dans un rang de vignes à proximité du chemin départemental, sur lequel pouvait circuler quelques voitures… j’étais tétanisé.
- Tu tiens vraiment à te faire enculer à sec, la lope ?
Non, je n’y tenais pas, vraiment pas… Marcel avait une bonne pine, aussi longue qu’épaisse
- Non Monsieur, laissez-moi, s’il vous plait Monsieur… laissez-moi.
Je sentais son membre pulser et forcer mon ouverture. Sans sommation, il se plantait en moi, par derrière, direct, d’un seul coup de ...
... rein ultra-puissant venant perforer mon petit trou, me tenant toujours le bras replié, m’obligeant à me pencher en avant, mon cul à sa merci, son autre main tirant sur mon épaule. Il s’immobilisait en moi, le temps que s’apaise la douleur, puis il commençait à me limer doucement en me traitant de pute, de grosse salope, de mille insultes dégradantes, mais je l’avoue si excitantes à mes oreilles. Il me lâchait enfin le bras, pour mieux me tenir fermement par les hanches, pour mieux me saillir sauvagement. A cet instant, je remerciais Madame Marie, d’avoir entrainé mes sphincters à se dilater, comme elle l’avait fait hier après-midi. Mon cul répondait mieux à ces assauts, à ces coups de butoirs incessants…
Force était de constater que je prenais du plaisir, un plaisir intellectuel, car sans le savoir, Marcel assouvissait un de mes fantasmes. Combien de fois avais-je rêvé de me faire « violer » ? Combien de fois m’étais-je branler en m’imaginant dans une telle situation ? Je constatais aussi que mon plaisir n’était pas que mental ! Mon trou n’avait pas résisté très longtemps. Mon cul prenait toute entière cette queue, l’avalait jusqu’aux couilles, dans une délicieuse et douce douleur, prélude de l’abandon à ce pieu de chair qui m’attachait au plaisir intense de la bite, de sa bite. Mon cul venait de l’adopter, disait « Oui, je te veux » disait « Baise-moi, nique-moi, lime-moi, encule-moi »… sans aucun tabou, aucune retenue, aucune limite… « Je suis à toi, mâle viril, abandonné ...