Le grimoire
Datte: 04/03/2022,
Catégories:
fh,
fhh,
extracon,
profélève,
grossexe,
bizarre,
campagne,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
conte,
fantastiqu,
fantastiq,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... l’aréole, très enflée et très large, qui constituait le jaune, surmonté d’un impressionnant tétin qu’il s’empressa de rouler entre ses doigts rugueux. C’était comme si Jeanine avait trois clitoris tant la réaction fut rapide et violente. Il put ainsi l’envoyer deux fois au grand frisson avant d’épancher en elle le fond de ses bourses. Il retourna au boulot à quinze heures passées, Jeannot faisait patiemment des joints entre les pierres en l’attendant. Il travailla lentement, mais avec application, resta plus tard pour rattraper son retard, mais fut satisfait de l’effet une fois terminées les bordures d’une rampe.
Le lendemain, il retrouva dans le regard de Jeanine cette expression indéfinissable qu’il avait vue dans ceux de l’Anglaise et de la boulangère. Une sorte d’émotion contenue, faite d’admiration et de désir. Ça lui plaisait bien, et il se demanda si l’institutrice aurait le même. À midi, Jeanine qui était prête à se laisser aller de nouveau, le questionna sur sa vie privée. Après tout, si elle voulait faire la curieuse. Il lui narra donc comment il avait sauté l’Anglaise, puis la Martine, et enfin confessa sa nuit avec leur ancienne maîtresse.
— Salaud ! Et tu m’as baisée le lendemain midi.
— C’est toi qui m’as entraîné…
— C’est vrai. Eh bien moi, j’ai été mariée, tu ne l’as pas su, dit-elle d’un air de défi ?
— Non. Tu sais, ce qui ne se passe pas au village…
— Eh bien, je te raconte. Mon père avait un gros client pour lequel il faisait plein de ventes, ...
... des terres, des fermes, une propriété presque chaque année. C’était un aristocrate, un nom à particule qui vivait sur Paris. En somme, il dilapidait les biens de famille pour assurer son train de vie. Et ce client avait un fils, mon père, une fille, moi. Ils se sont plus ou moins accordés ; d’un côté un nom, de l’autre l’argent. Réceptions, baise-mains, champagne, on nous fit faire connaissance. J’avoue que le garçon était beau, roulait en voiture de sport, j’ai marché dans la combine. Grand mariage, super voyage de noces. Oui, mais voilà, le beau garçon flambait, passant ses nuits aux tables de jeu et pas dans le lit conjugal, et rentrait ivre tous les matins, dormait toute la journée et recommençait le soir. J’ai fait le scandale du siècle et moins de six mois après le mariage nous étions divorcés.
— N’importe quoi. Tous pourris, ces aristos.
— Peut-être, mais dans l’histoire, mon père a perdu quelques illusions et pas mal d’argent. Je crains que ça n’ait précipité l’apparition de son cancer, puis sa mort, puis l’AVC de ma mère… Enfin voilà, conclut-elle les larmes aux yeux.
— Hé ! Ne te mets pas des histoires pourries dans la tête. Tu n’es pas responsable de tout ça. La faute revient bien au départ à ceux qui ont voulu arranger ce mariage, tu n’y es pour rien.
— Tu crois ? Dans l’histoire, j’ai perdu presque deux ans d’études, du coup je ne me sentais vraiment pas prête à reprendre l’étude de mon père. J’aurais voulu au moins quatre ou cinq ans d’expérience dans un ...