1. Le grimoire


    Datte: 04/03/2022, Catégories: fh, fhh, extracon, profélève, grossexe, bizarre, campagne, Collègues / Travail Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, conte, fantastiqu, fantastiq, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... tellement de drôles de choses aujourd’hui… Même les toreros, paraît-il, se mettent de la ouate pour paraître plus virils, elle l’avait entendu à la radio. Mais là, c’était bien de la bonne viande. Mazette ! En action, ça devait être quelque chose, le Rodolphe. Pour le moment, il ne réagissait guère, suant sang et eau et manquant d’air. Il sortit justement de son trou, le torse couvert d’une bouillasse faite de sueur et de poussière collée, des morceaux de gravats un peu partout. Il toussa, cracha, Martine courut chercher un gant de toilette et une serviette pendant qu’il avalait une seconde bouteille d’eau fraîche.
    
    — Oh ! Dans quel état tu t’es mis, mon pauvre garçon, laisse-toi faire, je vais te nettoyer.
    
    Rodolphe se laissa faire et Martine s’affaira sur son visage, ses épaules, son torse. Une trop belle occasion pour caresser ce jeune mâle partout. Et puis les cuisses aussi, qui en avaient un peu, en insistant bien entre et, tant qu’à faire, un petit brossage du slip poussiéreux s’imposait. Martine penchée sur son ouvrage livrait à la vue du jeune homme un décolleté vertigineux dans lequel ballottaient deux prodigieuses mamelles. Si Rodolphe était bien monté côté sexe, Martine tenait comparaison avec ses seins.Pas des seins, pensait le jeune homme,des courges. Cette vision ajoutée aux caresses de la boulangère commença à titiller les réflexes du mâle, et peu à peu l’obélisque s’érigea, déformant le slip juste sous l’élastique.
    
    — Mais regardez-moi ça, murmura la ...
    ... commerçante, pupilles dilatées. C’est comme si je te faisais de l’effet, grand coquin. Fais voir, tu ne peux pas rester comme ça… Ooooohhh
    
    Le cri était parti malgré elle quand elle avait dégagé le monstrueux engin, jaillissant comme un diable de sa boîte une fois la compression retirée. Bouche ouverte, la Martine contempla la chose sous toutes les coutures, avançant un doigt timide pour confirmer ce que ses yeux n’arrivaient pas à croire.
    
    — Ben dis donc… Mais t’es un véritable étalon. Mon dieu, j’ai jamais rien vu de plus beau.
    
    En un instant, la robe de coton vola sur la pile de sacs de farine, suivie par le robuste soutien-gorge et la vaste culotte assortie. Ce n’est pas que Martine fut très forte du bas, mais, compte tenu de sa colossale poitrine, les sous-vêtements coordonnés étaient obligatoirement robustes et de grande taille. Et elle tenait à être toujours présentable au cas où une bonne fortune se présenterait, on ne sait jamais lorsqu’on a un mari qui dort toute la journée. La bonne fortune était là devant elle, dressée vers le plafond, puissante et arrogante, gorgée de mille promesses de plaisirs incroyables, avec en prime une paire de coucougnettes qu’elle compara immédiatement aux « Kinder » qu’elle vendait aux gamins. Sans autre détour, elle tomba à genoux, enferma la chose entre ses gigantesques mamelles et se mit à l’astiquer frénétiquement. Front baissé, elle accueillait dans sa bouche gourmande le gland énorme et violacé que sa dextérité décalottait à ...
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