Les trois connasses
Datte: 02/03/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Véjipé, Source: Xstory
... bousculaient. D’un côté, je la détestais, je m’étais même imaginé, comme souvent, lui planter son coupe-papier dans la gorge, au moment où j’étais entré dans son bureau. D’un autre côté, il reste vrai qu’elle m’attirait et j’avais envie de lui planter autre chose ailleurs, si je puis m’exprimer ainsi.
— Allez Tonio. Ma chatte veut Lechat.
C’était nul. Je le savais. Pourtant, je n’ai pas pu m’empêcher de pouffer de rire. Myrtille prit ça comme un signe de victoire et m’adressa un sourire victorieux. En même temps, elle avait raison. La partie de moi qui avait envie d’elle avait pris le dessus.
Laissant libre cours à mes envies animales, je chassais de son bureau les dossiers qui s’y trouvaient (une chance que je n’aie pas fait tomber l’ordinateur dans la foulée), et j’allongeai Myrtille sur son bureau. Sans réfléchir, je plongeai le visage entre ses jambes et entrepris de la lécher. Ma langue caressait son intimité autant que son intimité caressait ma langue. Son odeur était enivrante. Je sentais son corps frissonner à chaque fois que la pointe de ma langue glissait sur ses lèvres ou contre son clitoris.
Myrtille posa la main sur ma tête et serra mes cheveux, tout en m’appuyant contre son corps brûlant.
Quand je la sentis suffisamment prête, je quittai son entrejambe pour remonter sur son ventre. Je m’attardais sur son nombril, mais sans abandonner son sexe, que je caressais du bout des doigts tandis que ma langue dansait sur son nombril. Myrtille déboutonna ...
... sa chemise et l’ouvrit en grand, me dévoilant ses seins, qu’elle n’avait pas enfermés dans un soutien-gorge. Elle avait vraiment tout prévu.
Alors je remontai et mes baisers s’attardèrent cette fois sur ses seins. Ils étaient relativement petits, mais charmants, au point que je me demandais si elle avait vraiment omis le soutif pour moi. Peut-être qu’elle était souvent seins nus, finalement. Sur ces belles pensées, je continuais à embrasser ses seins. Je les suçais. Je les léchais. Dans le même temps, mes caresses sur son sexe avaient laissé place à une douce pénétration digitale. Deux de mes doigts faisaient des aller-retour en elle, la caressant de l’intérieur.
Myrtille poussait des soupirs de plaisir. Ses joues et son front devenaient de plus en plus roses, puis rouges.
— Baise-moi !
— Oui, Madame Mélanie.
— Et surtout ta gueule !
Je lui adressai un sourire moqueur qu’elle n’a probablement pas remarqué. Je me suis alors redressé, j’ai baissé mon pantalon, et j’ai commencé à caresser son intimité du bout de mon gland.
Elle enroula ses jambes autour de ma taille et me tira brusquement vers elle, faisant entrer ma queue en elle. Visiblement, elle était opposée à mon idée de la faire languir un peu.
Qu’à cela ne tienne. J’étais décidé à la satisfaire et après tout, j’en avais rêvé ado. Alors je commençais à aller et venir en elle. D’abord doucement, puis avec plus de vigueur. Puis j’alternais. Parfois, mes gestes étaient lents, et ma queue caressait ses ...