1. COLLECTION LE MARIN. Maître d’hôtel de l’amiral à Tahiti (2/4)


    Datte: 01/03/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... une serviette bleu ciel.
    
    Serviette sur laquelle sa peau parfaitement cuivrée par des heures de bronzage était rehaussée par son slip de bain blanc.
    
    Je dis slip, car dès qu’elle s’est allongée, sans s’inquiéter de notre présence, elle a détaché son haut nous montrant des seins magnifiques et sans l’ombre d’une trace blanche.
    
    La dame se fait bronzer les seins nus.
    
    Quand elle a étalé sa crème solaire, j’ai eu envie d’aller lui proposer mes services, j’aurais bien aimé lui caresser les seins en lui passant la crème solaire, mais devant Alain, me prendre une baffe très peu pour moi.
    
    Comme me l’a dit mon copain parigot et maître d’hôtel de la famille, c’est un remariage, lui presque la soixantaine elle 25.
    
    Il lui a fait un garçon élevé par une nurse, madame, est simplement là pour se faire belle et pavaner au bras de son mari dans des soirées mondaines.
    
    Cette semaine, je sais que l’amiral est parti pour huit jours en tournée d’inspection dans les îles sous le vent.
    
    J’arrive, Alain est absent.
    
    Il finit par arriver avec deux bières fraiches, il semble gêné quand sa patronne refaisant le coup du bronzage topless passe près de nous.
    
    - Bonjour jeune homme, je suis content qu’Alain ait trouvé un ami, le service de l’amiral est assez exigeant surtout en temps d’attente.
    
    Alain, je vous attends à 17 heures pour que vous me serviez mon thé.
    
    - Oui, madame, je serais ponctuel.
    
    Nous reprenons nos discussions, quand madame l’amiral se relève vers 16 ...
    ... heures et sans un regard vers le petit peuple, prend le chemin du retour sa serviette me cachant en partie le balancement de ses seins.
    
    - Merde, c’est l’heure, il faut que je te quitte, je te dirais bien un secret, mais si ça s’ébruitait je le retrouverais avec un tas d’emmerdes.
    
    - On est pays et même sous la torture entre pays on ferme sa gueule quand on nous fait des confidences.
    
    - C’est tellement gros que j’hésite.
    
    Tant pis, depuis trois jours, je suis l’amant de Carole, la femme qui m’attend pour son thé.
    
    - Redit moi ça, j’ai bien compris, tu te sautes la jeune et jolie femme qui vient de me faire bander en remontant chez elle.
    
    - Oui, il y a trois jours, j’étais sur la terrasse à ranger le bar d’extérieur.
    
    La porte-fenêtre de la chambre du couple que je sers était ouverte, un rideau placé m’empêchant de voir.
    
    J’ai entendu la chute d’un objet en verre ou en porcelaine avec un grand cri.
    
    Sans penser à ce que j’allais trouver, je me suis précipité.
    
    Carole était par terre un vase et les fleurs du bouquet que la servante avait confectionné éclaté avec la patronne elle aussi allongée et essayant de se redresser.
    
    Elle glissait sur le carrelage à cause de l’eau répandue.
    
    - Elle était nue !
    
    - Ça, je l’ai vu plus tard, dans l’action, je pensais seulement qu’elle pouvait être blessée.
    
    Je l’ai prise sous les aisselles.
    
    Oui, elle était intégralement nue et les seins que tu as vus je les ai eus dans mes mains.
    
    - Putain, t'es le mec le plus ...