COLLECTION LE MARIN. Maître d’hôtel de l’amiral à Tahiti (2/4)
Datte: 01/03/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Nommé à Tahiti et plus précisément à l’arsenal de Papeete pour m’occuper du remorqueur affecté dans cette île paradisiaque, dans un premier temps, je fais la connaissance de Hugo, le second-maître mécanicien que je vais remplacer.
Un an, je serai là un an, mais certainement deux, car pour doubler mes points valables pour la retraite, je devrais rester deux ans.
Deux ans, si c’est pour me retrouver à baiser, la soi-disant vahiné chez qui je passe la soirée, très peu pour moi.
À trente ans, gros cul, grosses mamelles tombantes, une bouche à moitié édentée où j’ai un peu honte d’y avoir fourré ma bite après la biture que j’ai prise avec eux.
Hugo voulait que je prenne le relais pour l’approvisionner en bière et si j’étais resté ce jour-là, certainement une partie en trio.
Depuis il est retourné en France.
Sur le remorqueur, que nous faisons manœuvrer chaque semaine, afin qu’il soit toujours en état de manoeuvrer, Louis, le maître commandant et Bosco à la langue bien pendue.
Il m’a dit qu’il y a un an, sa vahiné avait accouché d’un garçon élevé par sa mère.
Bref, heureusement que j’ai évité le piège préférant me taper des pignoles plutôt que de risquer ma bite comme la première fois dans la bouche à moitié édentée de Tahia.
À bien y regarder, refuser le gros cul de Tahia est une chose, mais a mon âge se vider les couilles pour éviter les risques d’explosion est une nécessité.
Ce soir, je sors faire un tour en ville, j’ai l’habitude de boire un punch ...
... planteur sur le port.
À peine fini, sans bien m’en rendre compte, mes pas me portent dans le secteur de cette femme que j’ai fui pour éviter de me trouver dans la situation du second-maître Hugo.
Il a dû retrouver sa smala et celle qui l’a fait cocu.
« Gogo bar »
L’enseigne m’attire comme un aimant.
Je pousse la porte, des clients à des tables, tous des hommes avec certains à leur table, ce qui semble être des girelles.
À oui, « girelles, » ce sont de petits poissons multicolores péchés en Méditerranée, mais dans la période qui nous intéresse à Toulon dans la basse ville appelé Chicago, c’était des putes qui travaillaient dans des bars.
Au gogo bar, nul besoin de se creuser les méninges, ces filles courtes vêtu, maquillées avec outrance, s’avèrent être des suceuses de bites après rémunération.
Au bar, deux filles complètement différentes, une autre Tahia, mais d’une vingtaine d’années buvant une bière comme sa cousine, mais encore mettable.
Une autre Tahia au niveau des traits, car les pures Tahitiennes ont des visages reconnaissables entre mille.
Par contre, la deuxième, certainement une mitigée Indou- Tahitienne, comme il y en a de très nombreuses comme serveuse dans les boutiques de Papeete.
C’est une beauté.
J’ai la confirmation de mon impression de qui sont ces filles, quand un officier marinier second-maître de première classe, se lève, suit une fille et passe derrière un rideau.
Je regarde la fille qui d’emblée m’intéresse et je ...