1. COLLECTION LE MARIN. Maître d’hôtel de l’amiral à Tahiti (2/4)


    Datte: 01/03/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... m’assieds à la table libérée par celui qui doit se faire allègrement sucer la queue.
    
    Elle me regarde, j’évite de regarder, celle que je veux éviter.
    
    La fille, la bonne, s’approche.
    
    - C’est la première fois que je te vois ici beau marin.
    
    - Je suis arrivée depuis peu de la métropole pour un an.
    
    - M’offres-tu un verre ?
    
    Me disant cela, sa main vient se poser sur ma cuisse.
    
    J’ai tellement faim de chatte, que je sens le pont de mon pantalon blanc ce soulever.
    
    - Une bière ?
    
    - Plutôt un planteur aux fruits mélangés.
    
    En me disant ça, elle s’avance pour prendre mon bachi qu’elle se met sur la tête.
    
    Combien de fois, ai-je vu ces girelles à Toulon ou à Brest faire cela afin de mettre leur attribue bien féminin sous mon nez ?
    
    Ça marche, car je vois que contrairement aux mamelles tombantes de Tahia lors de mes premiers jours, sa poitrine est petite, mais les pointes qui sont libres de toute entrave déforme le tissu plus qu’en temps normal.
    
    Putain qu’elle est bandante.
    
    Je passe la conversation somme toute très banale pour ce genre de fille, voulant savoir d'où je viens en France et bien sûr ici afin de savoir si elle va me fidéliser comme client.
    
    À Toulon, j’ai fréquemment rencontré ces filles qui se trouvent des points communs puisqu’elles sont allées une fois à Paris et qu’elles ont vu la tour Effel.
    
    À Papeete, c’est plus difficile, mais celle que je convoite pour éviter de me dire qu’elle est devenue pute alors qu’elle habite trois rues ...
    ... plus loin me demande si je connais Bora-Bora.
    
    Bien sûr, je réponds négativement alors elle est originaire de cette île.
    
    Je m’en branle littéralement, j’espère qu’elle va me demander fucki fucki.
    
    Tu baises en langage international.
    
    - Tu viens faire un petit tour derrière le rideau.
    
    - Tu prends combien.
    
    Elle me donne un tarif en franc pacifique, je converti, c’est moins cher qu’à Toulon et à Brest.
    
    - Je te suis.
    
    Nous passons le rideau, un étage, des portes.
    
    Nous passons l’une d’elles, aussi épaisses qu’une feuille d’allumette.
    
    « Amène ton cul que je t’encule ! »
    
    Le sous-off se paye la boîte à chocolats de la Tahitienne.
    
    Quand je vais éjaculer dans la chatte de celle qui avance devant moi, je devrai me souvenir de l’épaisseur des portes, sans être prude, j’aime faire cela dans l’intimité.
    
    - Viens faire ta petite toilette mon chou.
    
    L’intimité, la queue propre, on se retrouve à la sortie, sinon il faut mettre le carré blanc fraichement instauré en France.
    
    Ouf, c’est fait, malgré son air ingénu, Vanilla s’avère une vraie pro et lorsque je retrouve le trottoir, je peux m’éloigner de la maison de Tahia.
    
    Ça fait trois fois que je viens sous la tonnelle sur la plage de l’amiral responsable de la marine sur les îles du Pacifique.
    
    L’amiral, j’ignore, comment il est fait, madame, je l’ai vu la dernière fois quand nous buvions notre bière à l’ombre.
    
    Elle est passée près de nous, nous a salué avant d’aller s’allonger à quelques mètres sur ...