1. Nymphomane, moi ? Tome III (11)


    Datte: 27/02/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... avait pu savoir ce que je pensais la plus grande partie de la journée.
    
    L’air était chaud et collait, empreint d’humidité. Je ne pouvais toujours pas m’habituer à cette chaleur et à cette humidité. Tout était toujours mouillé, humide de pluie et de sueur. J’avais fanfaronné avec Marion sur mon voyage, mais maintenant, je regrettais presque.
    
    — Tu es une petite salope, pensais-je. Tu approches de la trentaine, les vieux gros et laids, les noirs te font toujours autant fantasmer. Tu aimes te faire baiser par leurs grosses bites qu’elles soient noires ou blanches, celle de Gérald te manque, celle de Luzolo aussi ! Vas-tu résister longtemps ?
    
    Et bien sûr, en pensant à cela, j’aimais à espérer que j’étais assez sophistiqué dans le choix de mes partenaires surtout noirs, car Louis, le fermier et son fils Ludo ne faisaient pas partie du gratin, mais ils savaient malgré leur laideur, me faire grimper au septième ciel ! Enfin, me dis-je, de toute façon, tu es maintenant au Congo, pour bosser et tu as accepté ce contrat. Mais cette acclimatation avait eu un début lent et difficile pour moi. Nous étions isolés dans un camp à l’intérieur de la forêt tropicale, avec peu de contact avec le monde extérieur et uniquement pris en charge par les habitants des villages locaux, ce qui aurait dû me réjouir, car ils étaient tous noirs, mais mon moral était en berne.
    
    Lorsque nous avions quitté Brazzaville, N’Doumbé m’avait promis de venir au camp dans 15 jours.
    
    Au fil des jours, je ...
    ... sentais de plus en plus que les yeux des travailleurs erraient sur mon corps. J’essayai de me persuader du contraire. Mais c’était vraiment le cas et cela ne fit que nourrir ma convoitise croissante. Je me concentrai difficilement sur mon boulot, toute perception de la réalité était assombrie par un état d’éveil érotique et distrait.
    
    À la fin de chaque journée, je ne pouvais pas attendre de terminer le dîner, il fallait que je prenne une douche et regagne ma hutte pour me masturber. Tous les soirs, j’étais terriblement excitée, j’étais de plus en plus persuadée que l’on me droguait.
    
    Dans le confinement de ma case, l’air était si moite qu’au bout de la première nuit, je dormis sur le dessus du lit, juste avec une petite culotte. Cela provoqua une nouvelle série de sensations érotiques. Avec le trou ouvert pour la fenêtre et juste un rideau pour la porte, le sentiment d’exposition et d’insécurité se transforma rapidement en fantasmes imaginaires pervers.
    
    Des travailleurs noirs et musclés, aux bites énormes m’assaillaient avec une intention salace de profiter de ma féminité, et malgré moi, mon corps en sueur se tordait de plaisir sous leurs mains rugueuses.
    
    Cela devint une obsession nocturne récurrente, conduisant mon corps et mon esprit à une masturbation libératrice. Au fil des soirées, cela évolua en rituel nocturne avant que je pus m’endormir. Je masturbai ma chatte avec vigueur, je pinçai, tirai mes mamelons durcis, enfonçant mes doigts dans mon vagin trempé pour ...
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